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Les oubliés du périph
France - Paris - 2015- 2014 Porte des Ternes, Gustave
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
17/07/2014 4596
17/07/2014
Les oubliés du périph
France - Paris - 2015- 2014 Porte des Ternes, Gustave
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
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Les oubliés du périph
France - Paris - 2015- 2014 Porte des Ternes, Gustave
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
17/07/2014 4595
17/07/2014
Les oubliés du périph
France - Paris - 2015- 2014 Porte des Ternes, Gustave
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
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Les oubliés du périph
France - Paris - 2015- 2014 Porte des Ternes, Gustave
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
17/07/2014 4594
17/07/2014
Les oubliés du périph
France - Paris - 2015- 2014 Porte des Ternes, Gustave
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
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4593
Les oubliés du périph
France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile`et Gustave
Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas.
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde Diane , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
14/07/2014 4593
14/07/2014
Les oubliés du périph
France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile`et Gustave
Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas.
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde Diane , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
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Les oubliés du périph
France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile`et Gustave
Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas.
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde Diane , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
14/07/2014 4592
14/07/2014
Les oubliés du périph
France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile`et Gustave
Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas.
Gustave a 74 ans ; il est né le 6 décembre 1940 à Dunkerque. Sa mère était belge et son père, français. Son père et son grand-père travaillaient dans la briqueterie. A la retraite, il ne fait pas la manche. « Des fois les gens s ‘arrêtent et me donne un peu d’argent ou à manger . Il va manger le midi dans une association. Il vit avec Emile et Jean-Michel. C’est Emile qui l’aide à vivre avec l’argent de sa manche. « A 60 ans j’ai fait Paris Bordeaux à pied pour aller faire les vendanges, je ne suis pas fainéant ». Il fait le ménage et soigne son apparence : un costume bleu défraichi et hors d’âge, mais un costume. Je pense à Fellini en le voyant. Courbaturé et attaqué par l’arthrose, son idéal de vie serait d’avoir une tente plus grande pour pouvoir se mettre debout, cela lui fait mal au dos d’être dans sa canadienne d’une personne. Emile a posé un gros coquillage de Dunkerque à côté de sa tente : « Regarde Diane , on entend la mer. Là bas, c’est chez moi ! »
© Diane Grimonet
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2126
Face à la réalité
REGION DE TURKANA /NORD DU KENYA /15.05.2009: Un guerrier de la tribu Samburu dans la région de Turkana, Nord du Kenya, saute d’un rocher avec des portraits découpés d’animaux pendant le festival de Turkana. Le festival a lieu chaque année dans le village de Loyongalani pour rassembler les tribus en conflit de l’aride nord du Kenya afin qu’elles résolvent leurs problèmes. Les conflits entre les tribus proviennent généralement des problèmes causés par la rareté de l’eau pour leur bétail. La situation va certainement empirer avec la construction du barrage Gilge Gibe III dans le sud de l’Ethiopie, sur le seul affluent qui conduit au lac Turkana, ce qui assèchera le lac.
Manoocher Deghati
2126
Face à la réalité
REGION DE TURKANA /NORD DU KENYA /15.05.2009: Un guerrier de la tribu Samburu dans la région de Turkana, Nord du Kenya, saute d’un rocher avec des portraits découpés d’animaux pendant le festival de Turkana. Le festival a lieu chaque année dans le village de Loyongalani pour rassembler les tribus en conflit de l’aride nord du Kenya afin qu’elles résolvent leurs problèmes. Les conflits entre les tribus proviennent généralement des problèmes causés par la rareté de l’eau pour leur bétail. La situation va certainement empirer avec la construction du barrage Gilge Gibe III dans le sud de l’Ethiopie, sur le seul affluent qui conduit au lac Turkana, ce qui assèchera le lac.
Manoocher Deghati
Samburu warrior in Northern Kenya: KEN, TURKANA REGION
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3342
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Garçons près d’une statue de Heydar Aliyev, président de l’Azerbaïdjan de 1993 à 2003. Bakou, 2006.
Stanley Greene / Noor
01/01/2006 3342
01/01/2006
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Garçons près d’une statue de Heydar Aliyev, président de l’Azerbaïdjan de 1993 à 2003. Bakou, 2006.
Stanley Greene / Noor
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3397
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Des experts russes évaluent la qualité des ressources pétrolières. Bakou, 1998.
Stanley Greene / Noor
01/01/1998 3397
01/01/1998
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Des experts russes évaluent la qualité des ressources pétrolières. Bakou, 1998.
Stanley Greene / Noor
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3646
L'Empire brisé
Novocherkassk, Russie, 1997. Un soldat cosaque au garde-à-vous lors d'une cérémonie où la Russie reconnaît la renaissance des Cosaques du Don. Les minorités trouvent cependant cette résurgence discutable. Ils la craignent, n'oubliant pas les pogroms que les Cosaques ont fait subir à leurs ancêtres.
© Gerd Ludwig 2011 All Rights Reserved
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L'Empire brisé
Novocherkassk, Russie, 1997. Un soldat cosaque au garde-à-vous lors d'une cérémonie où la Russie reconnaît la renaissance des Cosaques du Don. Les minorités trouvent cependant cette résurgence discutable. Ils la craignent, n'oubliant pas les pogroms que les Cosaques ont fait subir à leurs ancêtres.
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3433
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
À bord d’un chalutier. Aktaou, 1997.
Stanley Greene / Noor
01/01/1997 3433
01/01/1997
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
À bord d’un chalutier. Aktaou, 1997.
Stanley Greene / Noor
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3427
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Marchant dans les eaux peu profondes. Province de Gilan, 1994.
Stanley Greene / Noor
01/01/1994 3427
01/01/1994
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Marchant dans les eaux peu profondes. Province de Gilan, 1994.
Stanley Greene / Noor
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3391
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Après une journée de travail sur un chalutier ou un pétrolier, des ouvriers se dirigent vers la terre. Bakou, 1994.
Stanley Greene / Noor
01/01/1994 3391
01/01/1994
Sur les rives houleuses de la mer Caspienne
Après une journée de travail sur un chalutier ou un pétrolier, des ouvriers se dirigent vers la terre. Bakou, 1994.
Stanley Greene / Noor
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2132
Face à la réalité
PROVINCE DE FARS / IRAN/ 1978 : Les Qashqai sont des éleveurs nomades en Iran qui vivent principalement dans la province de Fars et principalement autour de la ville de Shiraz.
Manoocher Deghati
2132
Face à la réalité
PROVINCE DE FARS / IRAN/ 1978 : Les Qashqai sont des éleveurs nomades en Iran qui vivent principalement dans la province de Fars et principalement autour de la ville de Shiraz.
Manoocher Deghati
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3240
Jesse A. Fernandez
New York, U.S.A., 1961
Jesse A. Fernandez
3240
Jesse A. Fernandez
New York, U.S.A., 1961
Jesse A. Fernandez
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3274
Jesse A. Fernandez
Défilé du 26 juillet 1959 -La Havane
Jesse A. Fernandez
3274
Jesse A. Fernandez
Défilé du 26 juillet 1959 -La Havane
Jesse A. Fernandez
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3273
Jesse A. Fernandez
Défilé du 26 juillet 1959, La Havane
Jesse A. Fernandez
3273
Jesse A. Fernandez
Défilé du 26 juillet 1959, La Havane
Jesse A. Fernandez
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6071
Picasso
Picasso porte une cape et un chapeau d’Espagne. Jacqueline porte un voile de Séville.
© David Douglas Duncan
01/01/1957 6071
01/01/1957
Picasso
Picasso porte une cape et un chapeau d’Espagne. Jacqueline porte un voile de Séville.
© David Douglas Duncan