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  • SCY - Dying to Breathe
    6632
    SCY - Dying to Breathe
    Dying to Breathe
    Chine / Shaanxi / Henan / Sim Chi Yin / VII / projet personnel / 2011 - 2013 /
    Mi Shixiu serre contre elle la tête de He Quangui alors qu'il lutte pour respirer... Il finit par retrouver sa respiration. Cependant, au petit matin du jour suivant, il essaya de mettre fin à ses souffrances en se suicidant.

    ---
    Dying to breathe: He Quangui, ancien mineur d'or, meurt peu à peu de silicose - une maladie irréversible mais évitable qu'il a contracté après des années à travailler dans des petites mines non régulées de la province du Henan au centre de la Chine. Dix ans après avoir été diagnostiqué, il se bat pour survivre, pour continuer à respirer. Cette maladie, une forme de pneumoconiose - La pathologie professionnelle la plus fréquente en Chine, avec des millions de cas -la poussière de silice aspirée dans les poumons durant des années à creuser la roche les fait durcir et éventuellement s'effondrer. Les travailleurs qui peuvent se permettre une bonne couverture médicale et de quitter cet environnement nocif -- particulièrement ceux qui travaillent pour les mines gouvernementales -- ont une durée de vie normale. Mais au sein du nombre grandissant de victimes aujourd'hui en Chine, la plupart sont des migrants tels que Mr He, sans assurance, couverture maladie ni recours juridique. Ils meurent généralement dans leurs trentaines, laissant derrière eux des familles sans source de revenus, des femmes sans maris, des enfants sans pères.
    © Sim Chi Yin / VII
    23/02/2013
    6632
    23/02/2013
    SCY - Dying to Breathe
    Dying to Breathe
    Chine / Shaanxi / Henan / Sim Chi Yin / VII / projet personnel / 2011 - 2013 /
    Mi Shixiu serre contre elle la tête de He Quangui alors qu'il lutte pour respirer... Il finit par retrouver sa respiration. Cependant, au petit matin du jour suivant, il essaya de mettre fin à ses souffrances en se suicidant.

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    Dying to breathe: He Quangui, ancien mineur d'or, meurt peu à peu de silicose - une maladie irréversible mais évitable qu'il a contracté après des années à travailler dans des petites mines non régulées de la province du Henan au centre de la Chine. Dix ans après avoir été diagnostiqué, il se bat pour survivre, pour continuer à respirer. Cette maladie, une forme de pneumoconiose - La pathologie professionnelle la plus fréquente en Chine, avec des millions de cas -la poussière de silice aspirée dans les poumons durant des années à creuser la roche les fait durcir et éventuellement s'effondrer. Les travailleurs qui peuvent se permettre une bonne couverture médicale et de quitter cet environnement nocif -- particulièrement ceux qui travaillent pour les mines gouvernementales -- ont une durée de vie normale. Mais au sein du nombre grandissant de victimes aujourd'hui en Chine, la plupart sont des migrants tels que Mr He, sans assurance, couverture maladie ni recours juridique. Ils meurent généralement dans leurs trentaines, laissant derrière eux des familles sans source de revenus, des femmes sans maris, des enfants sans pères.
    © Sim Chi Yin / VII
    *** Feature Sale Only *** do not use without permission (unpublished)

     

  • Héritage toxique
    3578
    Héritage toxique
    Prokopyevsk / Russie
    Le mineur Sasha Mawaganov a retiré la neige couverte de suie du toit de sa petite maison située près d'une usine d'enrichissement de charbon.
    © Gerd Ludwig
    23/02/2011
    3578
    23/02/2011
    Héritage toxique
    Prokopyevsk / Russie
    Le mineur Sasha Mawaganov a retiré la neige couverte de suie du toit de sa petite maison située près d'une usine d'enrichissement de charbon.
    © Gerd Ludwig

     

  • USA
    2930
    USA
    Austin, Texas, USA.
    « Brisez la chaîne, la prison n’est pas un lieu pour une réunion de famille, soyez un mentor …». C’est le message sur ce mural dans la ville d’Austin pour inciter les gens à s’engager dans la prévention de la délinquance et à se proposer comme guide auprès des jeunes.
    © Lizzie SADIN
    2930
    USA
    Austin, Texas, USA.
    « Brisez la chaîne, la prison n’est pas un lieu pour une réunion de famille, soyez un mentor …». C’est le message sur ce mural dans la ville d’Austin pour inciter les gens à s’engager dans la prévention de la délinquance et à se proposer comme guide auprès des jeunes.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2929
    USA
    Mc Lennan juvenile correctional facility, Texas, USA.
    Sans commentaire…
    © Lizzie SADIN
    2929
    USA
    Mc Lennan juvenile correctional facility, Texas, USA.
    Sans commentaire…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2928
    USA
    Black Canyon School, Arizona, USA.
    Ecran de surveillance des cellules d’isolement. Les jeunes détenus peuvent y rester jusqu’à huit jours. Ils y sont mis pour conduite agressive envers le personnel ou les autres détenus. Ils sont également placés en isolement lorsqu’ils tentent de mettre fin à leur vie.
    © Lizzie SADIN
    2928
    USA
    Black Canyon School, Arizona, USA.
    Ecran de surveillance des cellules d’isolement. Les jeunes détenus peuvent y rester jusqu’à huit jours. Ils y sont mis pour conduite agressive envers le personnel ou les autres détenus. Ils sont également placés en isolement lorsqu’ils tentent de mettre fin à leur vie.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2927
    USA
    Preston Youth correctional facility, USA.
    Cage de récréation quotidienne des prisonniers les plus dangereux. Ils sont séparés par catégories ethniques - Hispaniques, Afro-Américains, Asiatiques et « Caucasiens ». Ils sont séparés également par gangs... La tension et la violence sont palpables par les mots, injures et insultes qu’ils se crient d’une cage à l’autre.
    © Lizzie SADIN
    2927
    USA
    Preston Youth correctional facility, USA.
    Cage de récréation quotidienne des prisonniers les plus dangereux. Ils sont séparés par catégories ethniques - Hispaniques, Afro-Américains, Asiatiques et « Caucasiens ». Ils sont séparés également par gangs... La tension et la violence sont palpables par les mots, injures et insultes qu’ils se crient d’une cage à l’autre.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2926
    USA
    Delta Boot Camp, Katy, Texas, USA.
    Cellule de confinement où ils peuvent rester plusieurs jours. Ce jeune avait, selon les gardiens, des problèmes « psychologiques » qui l’ont conduit à être mis en cellule d’isolement pour sa sécurité. Les détenus sont surveillés 24 h/ 24. Rondes, écrans de contrôle, camisoles de force…
    © Lizzie SADIN
    2926
    USA
    Delta Boot Camp, Katy, Texas, USA.
    Cellule de confinement où ils peuvent rester plusieurs jours. Ce jeune avait, selon les gardiens, des problèmes « psychologiques » qui l’ont conduit à être mis en cellule d’isolement pour sa sécurité. Les détenus sont surveillés 24 h/ 24. Rondes, écrans de contrôle, camisoles de force…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2925
    USA
    Gonzalez Boot Camp, Malibu, Californie, USA
    Tous les matins après le petit-déjeuner, le dortoir doit être nettoyé et les affaires pliées et rangées au centimètre près, « à la  militaire ». Puis, sous la surveillance des caméras et du gardien, les jeunes doivent attendre le moment de la classe, allongés sur leur lit, les têtes le plus éloignées possible les unes des autres, car ils n’ont pas le droit de se parler. Le gardien passera en revue l’état du dortoir et tout manquement sera puni.
    © Lizzie SADIN
    2925
    USA
    Gonzalez Boot Camp, Malibu, Californie, USA
    Tous les matins après le petit-déjeuner, le dortoir doit être nettoyé et les affaires pliées et rangées au centimètre près, « à la  militaire ». Puis, sous la surveillance des caméras et du gardien, les jeunes doivent attendre le moment de la classe, allongés sur leur lit, les têtes le plus éloignées possible les unes des autres, car ils n’ont pas le droit de se parler. Le gardien passera en revue l’état du dortoir et tout manquement sera puni.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2924
    USA
    South Texas Boot Camp, San Benito, USA.
    Trois filles « cadets » font des pompes. C’est le traitement de base dès qu’il y a un comportement « hors normes ». Elles sont encadrées par une « Drill Instructor » qui a fait ses classes et son apprentissage pendant la guerre en Irak…
    © Lizzie SADIN
    2924
    USA
    South Texas Boot Camp, San Benito, USA.
    Trois filles « cadets » font des pompes. C’est le traitement de base dès qu’il y a un comportement « hors normes ». Elles sont encadrées par une « Drill Instructor » qui a fait ses classes et son apprentissage pendant la guerre en Irak…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2923
    USA
    © Lizzie SADIN
    2923
    USA
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2922
    USA
    South Texas Boot Camp, San Benito, USA.
    Admission, étape 1: Autre lieu et même méthode…
    Pendant un peu plus d’une heure un jeune homme est isolé dans la chambre avec trois « instructeurs » qui lui explique les règles de vie au BC et les gestes basiques de la marche militaire. Ils crient beaucoup, le provoquent afin de voir s’il réagit : il doit être docile et obéissant car la moindre erreur sera sanctionnée par des séries de pompes. Eux se relaient, physiquement éprouvés, certains sont en sueur et vont se changer très vite… L’admission continuera le lendemain dès 5h30, avec des exercices militaires.
    © Lizzie SADIN
    2922
    USA
    South Texas Boot Camp, San Benito, USA.
    Admission, étape 1: Autre lieu et même méthode…
    Pendant un peu plus d’une heure un jeune homme est isolé dans la chambre avec trois « instructeurs » qui lui explique les règles de vie au BC et les gestes basiques de la marche militaire. Ils crient beaucoup, le provoquent afin de voir s’il réagit : il doit être docile et obéissant car la moindre erreur sera sanctionnée par des séries de pompes. Eux se relaient, physiquement éprouvés, certains sont en sueur et vont se changer très vite… L’admission continuera le lendemain dès 5h30, avec des exercices militaires.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2921
    USA
    South Texas Boot Camp, San Benito, USA.
    Admission, étape 1: Autre lieu et même méthode…
    Pendant un peu plus d’une heure un jeune homme est isolé dans la chambre avec trois « instructeurs » qui lui explique les règles de vie au BC et les gestes basiques de la marche militaire. Ils crient beaucoup, le provoquent afin de voir s’il réagit : il doit être docile et obéissant car la moindre erreur sera sanctionnée par des séries de pompes. Eux se relaient, physiquement éprouvés, certains sont en sueur et vont se changer très vite… L’admission continuera le lendemain dès 5h30, avec des exercices militaires.
    © Lizzie SADIN
    2921
    USA
    South Texas Boot Camp, San Benito, USA.
    Admission, étape 1: Autre lieu et même méthode…
    Pendant un peu plus d’une heure un jeune homme est isolé dans la chambre avec trois « instructeurs » qui lui explique les règles de vie au BC et les gestes basiques de la marche militaire. Ils crient beaucoup, le provoquent afin de voir s’il réagit : il doit être docile et obéissant car la moindre erreur sera sanctionnée par des séries de pompes. Eux se relaient, physiquement éprouvés, certains sont en sueur et vont se changer très vite… L’admission continuera le lendemain dès 5h30, avec des exercices militaires.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2920
    USA
    Prison du Comté de Maricopa, Arizona, USA. Pose des chaînes aux pieds des prisonniers avant la sortie de la prison. Les détenus vont faire des travaux d’utilité publique sous la surveillance de gardiens armés à cause des interventions de gangs rivaux qui pourraient en profiter pour éliminer un rival ou pour faire évader d’un des leurs. On les met sur la route pour « être vus par les contribuables » annonce fièrement le Sheriff Joe Arpaïo, qui préfère parler de punition et surtout pas d’éducation ou de réinsertion.
    © Lizzie SADIN
    2920
    USA
    Prison du Comté de Maricopa, Arizona, USA. Pose des chaînes aux pieds des prisonniers avant la sortie de la prison. Les détenus vont faire des travaux d’utilité publique sous la surveillance de gardiens armés à cause des interventions de gangs rivaux qui pourraient en profiter pour éliminer un rival ou pour faire évader d’un des leurs. On les met sur la route pour « être vus par les contribuables » annonce fièrement le Sheriff Joe Arpaïo, qui préfère parler de punition et surtout pas d’éducation ou de réinsertion.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2919
    USA
    Prison du Comté de Maricopa, Arizona, USA
    Les détenus vont faire des travaux d’utilité publique sous la surveillance de gardiens armés à cause des interventions de gangs rivaux qui pourraient en profiter pour éliminer un rival ou pour faire évader l’un des leurs. On les met sur la route pour « être vus par les contribuables » annonce fièrement le sheriff Joe Arpaïo, qui préfère parler de punition et surtout pas d’éducation ou de réinsertion.
    © Lizzie SADIN
    2919
    USA
    Prison du Comté de Maricopa, Arizona, USA
    Les détenus vont faire des travaux d’utilité publique sous la surveillance de gardiens armés à cause des interventions de gangs rivaux qui pourraient en profiter pour éliminer un rival ou pour faire évader l’un des leurs. On les met sur la route pour « être vus par les contribuables » annonce fièrement le sheriff Joe Arpaïo, qui préfère parler de punition et surtout pas d’éducation ou de réinsertion.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2918
    USA
    Prison du Comté de Maricopa, Arizona, USA. Pose des chaînes aux pieds des prisonniers avant la sortie de la prison. Les détenus vont faire des travaux d’utilité publique sous la surveillance de gardiens armés à cause des interventions de gangs rivaux qui pourraient en profiter pour éliminer un rival ou pour faire évader d’un des leurs. On les met sur la route pour « être vus par les contribuables » annonce fièrement le Sheriff Joe Arpaïo, qui préfère parler de punition et surtout pas d’éducation ou de réinsertion.
    © Lizzie SADIN
    2918
    USA
    Prison du Comté de Maricopa, Arizona, USA. Pose des chaînes aux pieds des prisonniers avant la sortie de la prison. Les détenus vont faire des travaux d’utilité publique sous la surveillance de gardiens armés à cause des interventions de gangs rivaux qui pourraient en profiter pour éliminer un rival ou pour faire évader d’un des leurs. On les met sur la route pour « être vus par les contribuables » annonce fièrement le Sheriff Joe Arpaïo, qui préfère parler de punition et surtout pas d’éducation ou de réinsertion.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2917
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Etape N°5 du processus d'admission. Ils doivent maintenant courir les bras en l'air. Ce jeune peine à suivre...
    © Lizzie SADIN
    2917
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Etape N°5 du processus d'admission. Ils doivent maintenant courir les bras en l'air. Ce jeune peine à suivre...
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2916
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission étape 4 : Maintenant, face au soleil, les jeunes doivent faire des pompes et des abdominaux jusqu’à la brûlure sans poser leur tête. Ceux qui finissent avant les autres doivent continuer par solidarité pour accompagner les plus faibles…
    © Lizzie SADIN
    2916
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission étape 4 : Maintenant, face au soleil, les jeunes doivent faire des pompes et des abdominaux jusqu’à la brûlure sans poser leur tête. Ceux qui finissent avant les autres doivent continuer par solidarité pour accompagner les plus faibles…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2915
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 4 : après les étapes précédentes, les détenus doivent pousser à plusieurs reprises un pneu dans le sable. Le gardien dit à ce jeune d’un air moqueur et devant tout le monde : « tu es le plus gros et tu prends le plus petit pneu ?!!! Cela t’a pris moins de temps pour voler la voiture… ». Brimades et humiliations font partie du programme de l’admission dans ces Boot Camps.
    © Lizzie SADIN
    2915
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 4 : après les étapes précédentes, les détenus doivent pousser à plusieurs reprises un pneu dans le sable. Le gardien dit à ce jeune d’un air moqueur et devant tout le monde : « tu es le plus gros et tu prends le plus petit pneu ?!!! Cela t’a pris moins de temps pour voler la voiture… ». Brimades et humiliations font partie du programme de l’admission dans ces Boot Camps.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2914
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 4 : après les étapes précédentes, les détenus doivent pousser à plusieurs reprises un pneu dans le sable. Le gardien dit à ce jeune d’un air moqueur et devant tout le monde : « tu es le plus gros et tu prends le plus petit pneu ?!!! Cela t’a pris moins de temps pour voler la voiture… ». Brimades et humiliations font partie du programme de l’admission dans ces Boot Camps.
    © Lizzie SADIN
    2914
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 4 : après les étapes précédentes, les détenus doivent pousser à plusieurs reprises un pneu dans le sable. Le gardien dit à ce jeune d’un air moqueur et devant tout le monde : « tu es le plus gros et tu prends le plus petit pneu ?!!! Cela t’a pris moins de temps pour voler la voiture… ». Brimades et humiliations font partie du programme de l’admission dans ces Boot Camps.
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2913
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 3 : Les jeunes doivent porter, têtes baissées, un sac très lourd, marcher genoux pliés au niveau des chevilles et têtes au niveau des genoux, se relever, se baisser et ainsi de suite jusqu’à la brûlure des muscles. La gardienne crie en repérant les retardataires…
    © Lizzie SADIN
    2913
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 3 : Les jeunes doivent porter, têtes baissées, un sac très lourd, marcher genoux pliés au niveau des chevilles et têtes au niveau des genoux, se relever, se baisser et ainsi de suite jusqu’à la brûlure des muscles. La gardienne crie en repérant les retardataires…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2912
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 3 : Les jeunes doivent porter, têtes baissées, un sac très lourd, marcher genoux pliés au niveau des chevilles et têtes au niveau des genoux, se relever, se baisser et ainsi de suite jusqu’à la brûlure des muscles. La gardienne crie en repérant les retardataires…
    © Lizzie SADIN
    2912
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 3 : Les jeunes doivent porter, têtes baissées, un sac très lourd, marcher genoux pliés au niveau des chevilles et têtes au niveau des genoux, se relever, se baisser et ainsi de suite jusqu’à la brûlure des muscles. La gardienne crie en repérant les retardataires…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2911
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 2 : les jeunes détenus doivent maintenant avancer en suivant les traces de pas au sol sous peine de retourner à leur place sous les cris et de recommencer, puis lire un panneau « warning » qui dit que tout est permis aux gardiens, y compris d’utiliser des gaz lacrymogènes. Ils doivent le lire et le relire sous les cris sans comprendre où est l’erreur dans le texte tant qu’ils ne voient pas qu’ils ont oublié d’oraliser la ponctuation… puis passer à la tonte dans un hangar où, à l’abri des regards des autres, un gardien crie en jetant un banc contre les murs pour terroriser les autres restés à l’extérieur qui se demandent ce qui les attend. Pendant ce temps, un autre gardien ne cesse de hurler à l’oreille du jeune que l’on est en train de raser…
    © Lizzie SADIN
    2911
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 2 : les jeunes détenus doivent maintenant avancer en suivant les traces de pas au sol sous peine de retourner à leur place sous les cris et de recommencer, puis lire un panneau « warning » qui dit que tout est permis aux gardiens, y compris d’utiliser des gaz lacrymogènes. Ils doivent le lire et le relire sous les cris sans comprendre où est l’erreur dans le texte tant qu’ils ne voient pas qu’ils ont oublié d’oraliser la ponctuation… puis passer à la tonte dans un hangar où, à l’abri des regards des autres, un gardien crie en jetant un banc contre les murs pour terroriser les autres restés à l’extérieur qui se demandent ce qui les attend. Pendant ce temps, un autre gardien ne cesse de hurler à l’oreille du jeune que l’on est en train de raser…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2910
    USA
    © Lizzie SADIN
    2910
    USA
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2909
    USA
    © Lizzie SADIN
    2909
    USA
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2908
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 2 : les jeunes détenus doivent maintenant avancer en suivant les traces de pas au sol sous peine de retourner à leur place sous les cris et de recommencer, puis lire un panneau « warning » qui dit que tout est permis aux gardiens, y compris d’utiliser des gaz lacrymogènes. Ils doivent le lire et le relire sous les cris sans comprendre où est l’erreur dans le texte tant qu’ils ne voient pas qu’ils ont oublié d’oraliser la ponctuation… puis passer à la tonte dans un hangar où, à l’abri des regards des autres, un gardien crie en jetant un banc contre les murs pour terroriser les autres restés à l’extérieur qui se demandent ce qui les attend. Pendant ce temps, un autre gardien ne cesse de hurler à l’oreille du jeune que l’on est en train de raser…
    © Lizzie SADIN
    2908
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 2 : les jeunes détenus doivent maintenant avancer en suivant les traces de pas au sol sous peine de retourner à leur place sous les cris et de recommencer, puis lire un panneau « warning » qui dit que tout est permis aux gardiens, y compris d’utiliser des gaz lacrymogènes. Ils doivent le lire et le relire sous les cris sans comprendre où est l’erreur dans le texte tant qu’ils ne voient pas qu’ils ont oublié d’oraliser la ponctuation… puis passer à la tonte dans un hangar où, à l’abri des regards des autres, un gardien crie en jetant un banc contre les murs pour terroriser les autres restés à l’extérieur qui se demandent ce qui les attend. Pendant ce temps, un autre gardien ne cesse de hurler à l’oreille du jeune que l’on est en train de raser…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2907
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Ce jeune noir peine à suivre. Il soufflait fort par manque d’air et s’est fait « repéré ». Du coup, le gardien lui met une pression supplémentaire.
    Il restera par la suite son souffre-douleur…
    © Lizzie SADIN
    2907
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Ce jeune noir peine à suivre. Il soufflait fort par manque d’air et s’est fait « repéré ». Du coup, le gardien lui met une pression supplémentaire.
    Il restera par la suite son souffre-douleur…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2906
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 1 : « Il faut à tout prix les déstabiliser et apprendre à obéir. Ils n’ont pas besoin de comprendre pourquoi : just do it et say « sir, yes sir ! » 
    Ils devront faire des pompes sous des ordres contradictoires hurlés dans les oreilles, se lever, se rebaisser, faire des pompes, s’arrêter, se lever, faire des pompes, lever les bras, dire « sir, yes sir », se baisser, ceci jusqu’à épuisement, mais les épreuves d’admission continuent…
    © Lizzie SADIN
    2906
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 1 : « Il faut à tout prix les déstabiliser et apprendre à obéir. Ils n’ont pas besoin de comprendre pourquoi : just do it et say « sir, yes sir ! » 
    Ils devront faire des pompes sous des ordres contradictoires hurlés dans les oreilles, se lever, se rebaisser, faire des pompes, s’arrêter, se lever, faire des pompes, lever les bras, dire « sir, yes sir », se baisser, ceci jusqu’à épuisement, mais les épreuves d’admission continuent…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2905
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 1 : l’arrivée la première fois dans le Boot Camp doit être, selon les gardiens (qui sont d’anciens militaires), la plus déstabilisante possible pour les jeunes. Ils doivent subir un véritable choc. Ils arrivent enchaînés et menottés. A peine sortis du fourgon, on leur hurle dessus sans discontinuer. On les bouscule têtes courbées jusque sur les pas dessinés au sol. A partir de là, et pendant des heures, ils vont devoir suivre plusieurs étapes et passer par une série d’épreuves…
    © Lizzie SADIN
    2905
    USA
    Elkhorn Correctional Facility, Fresno, Californie, USA.
    Admission, étape 1 : l’arrivée la première fois dans le Boot Camp doit être, selon les gardiens (qui sont d’anciens militaires), la plus déstabilisante possible pour les jeunes. Ils doivent subir un véritable choc. Ils arrivent enchaînés et menottés. A peine sortis du fourgon, on leur hurle dessus sans discontinuer. On les bouscule têtes courbées jusque sur les pas dessinés au sol. A partir de là, et pendant des heures, ils vont devoir suivre plusieurs étapes et passer par une série d’épreuves…
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2904
    USA
    Delta Boot Camp, Katy. Texas . USA.
    5h du matin. 90 prisonniers mineurs font tous les matins, pendant plus d’une heure, des exercices - surtout des pompes - sous les ordres des gardiens. Ils doivent attendre, en position, puis crier ensemble le nom de l’exercice et faire, sous les coups de sifflets rythmés, des séries de 25 mouvements sans faillir.
    Les plus faibles ne tiennent pas ce rythme...
    © Lizzie SADIN
    2904
    USA
    Delta Boot Camp, Katy. Texas . USA.
    5h du matin. 90 prisonniers mineurs font tous les matins, pendant plus d’une heure, des exercices - surtout des pompes - sous les ordres des gardiens. Ils doivent attendre, en position, puis crier ensemble le nom de l’exercice et faire, sous les coups de sifflets rythmés, des séries de 25 mouvements sans faillir.
    Les plus faibles ne tiennent pas ce rythme...
    © Lizzie SADIN

     

  • USA
    2903
    USA
    2903
    USA

     

  • Madagascar
    2902
    Madagascar
    © Lizzie SADIN
    2902
    Madagascar
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2901
    Madagascar
    Prison de Antananarivo, Quartier des mineurs, Madagascar.
    Dans cette prison de la capitale, 72 mineurs sont incarcérés dont trois sont condamnés. Les autres attendent toujours leur jugement. A Madagascar 70% des détenus sont en attente de jugement. Les dossiers se perdent et on ne sait souvent pas quand ils sont rentrés, ni de quoi ils sont accusés. Les conditions sont difficiles : pas de douche, une seule arrivée d’eau pour tous, pas de repas fourni, pas de médicament et les malades ne voient pas de médecin comme celui-ci qui gémit seul par terre…
    © Lizzie SADIN
    2901
    Madagascar
    Prison de Antananarivo, Quartier des mineurs, Madagascar.
    Dans cette prison de la capitale, 72 mineurs sont incarcérés dont trois sont condamnés. Les autres attendent toujours leur jugement. A Madagascar 70% des détenus sont en attente de jugement. Les dossiers se perdent et on ne sait souvent pas quand ils sont rentrés, ni de quoi ils sont accusés. Les conditions sont difficiles : pas de douche, une seule arrivée d’eau pour tous, pas de repas fourni, pas de médicament et les malades ne voient pas de médecin comme celui-ci qui gémit seul par terre…
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2900
    Madagascar
    Prison de Antananarivo, Quartier des femmes, Madagascar.
    Ce quartier des femmes abrite 248 femmes, douze mineures dont certaines avec leurs bébés. David contre Goliath… Ce petit tient tête à la gardienne.
    © Lizzie SADIN
    2900
    Madagascar
    Prison de Antananarivo, Quartier des femmes, Madagascar.
    Ce quartier des femmes abrite 248 femmes, douze mineures dont certaines avec leurs bébés. David contre Goliath… Ce petit tient tête à la gardienne.
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2899
    Madagascar
    Maison d’arrêt de Diego-Suarez, Madagascar
    Accusés de délit de fuite, ces « évadés repris » sont enfermés dans ce cachot d’un mètre sur trois et sans fenêtre. Ils y restent une semaine dans le noir total, sans aucune visite et peuvent être jusqu’à douze dans ce cachot où ils ne peuvent même pas étendre leurs jambes...
    © Lizzie SADIN
    2899
    Madagascar
    Maison d’arrêt de Diego-Suarez, Madagascar
    Accusés de délit de fuite, ces « évadés repris » sont enfermés dans ce cachot d’un mètre sur trois et sans fenêtre. Ils y restent une semaine dans le noir total, sans aucune visite et peuvent être jusqu’à douze dans ce cachot où ils ne peuvent même pas étendre leurs jambes...
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2898
    Madagascar
    Prison de Mouramanga, Madagascar
    Ce jeune mineur de 13 ans est en prison pour avoir volé du riz sur pied pour nourrir sa famille. Il n’a jamais été à l’école, il est trop pauvre pour cela. Il ne sait pas combien de temps il devra rester ici. Il dit qu’il a faim et qu’il s’ennuie. Il a très peur aussi, car beaucoup de mineurs sont la proie des adultes…
    © Lizzie SADIN
    2898
    Madagascar
    Prison de Mouramanga, Madagascar
    Ce jeune mineur de 13 ans est en prison pour avoir volé du riz sur pied pour nourrir sa famille. Il n’a jamais été à l’école, il est trop pauvre pour cela. Il ne sait pas combien de temps il devra rester ici. Il dit qu’il a faim et qu’il s’ennuie. Il a très peur aussi, car beaucoup de mineurs sont la proie des adultes…
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2897
    Madagascar
    Maison d’arrêt de Diego-Suarez, Madagascar
    Les détenus font sécher… la peau d’une tête de vache dont ils couperont des morceaux pour en faire un bouillon. En 2005, dix détenus sont morts dans cette prison et dix dans celle d’Ambanja…. Un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches est la malnutrition sévère.
    © Lizzie SADIN
    2897
    Madagascar
    Maison d’arrêt de Diego-Suarez, Madagascar
    Les détenus font sécher… la peau d’une tête de vache dont ils couperont des morceaux pour en faire un bouillon. En 2005, dix détenus sont morts dans cette prison et dix dans celle d’Ambanja…. Un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches est la malnutrition sévère.
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2896
    Madagascar
    Maison d’arrêt de Diego-Suarez, Madagascar
    Dans sa cellule, un mineur cuit des racines de manioc pour son repas, seule denrée fournie par l’administration pénitentiaire et que les détenus doivent cuire eux-mêmes. En 2005, dix détenus sont morts dans cette prison et dix dans celle d’Ambanja…. Un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches est la malnutrition sévère. Religieux et ONG tentent d’y remédier en distribuant du riz ou des légumes aux détenus.
    © Lizzie SADIN
    2896
    Madagascar
    Maison d’arrêt de Diego-Suarez, Madagascar
    Dans sa cellule, un mineur cuit des racines de manioc pour son repas, seule denrée fournie par l’administration pénitentiaire et que les détenus doivent cuire eux-mêmes. En 2005, dix détenus sont morts dans cette prison et dix dans celle d’Ambanja…. Un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches est la malnutrition sévère. Religieux et ONG tentent d’y remédier en distribuant du riz ou des légumes aux détenus.
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2895
    Madagascar
    Maison d’arrêt d’Ambanja, Madagascar
    Sous la surveillance du gardien, distribution du seul repas fourni par l’administration pénitentiaire et préparé par les détenus. En 2005, dix détenus adultes étaient morts dans cette prison et dix dans celle de Diego Suarez… Un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches est la malnutrition sévère. Religieux et ONG tentent d’y remédier en distribuant du riz ou des légumes aux détenus.
    © Lizzie SADIN
    2895
    Madagascar
    Maison d’arrêt d’Ambanja, Madagascar
    Sous la surveillance du gardien, distribution du seul repas fourni par l’administration pénitentiaire et préparé par les détenus. En 2005, dix détenus adultes étaient morts dans cette prison et dix dans celle de Diego Suarez… Un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches est la malnutrition sévère. Religieux et ONG tentent d’y remédier en distribuant du riz ou des légumes aux détenus.
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2894
    Madagascar
    Maison d’arrêt d’Ambanja, Madagascar
    Dans cette cellule, ils sont 20 mineurs dans 10 m2. Les plus faibles dorment enfermés comme dans un cercueil, sans air et par terre à même le sol sous les planches en bois sur lesquelles dorment les plus forts… « Les punaises nous attaquent toute la nuit et les rats mordent nos doigts car nos mains sentent la nourriture parce que nous n’avons pas de savon »…
    © Lizzie SADIN
    2894
    Madagascar
    Maison d’arrêt d’Ambanja, Madagascar
    Dans cette cellule, ils sont 20 mineurs dans 10 m2. Les plus faibles dorment enfermés comme dans un cercueil, sans air et par terre à même le sol sous les planches en bois sur lesquelles dorment les plus forts… « Les punaises nous attaquent toute la nuit et les rats mordent nos doigts car nos mains sentent la nourriture parce que nous n’avons pas de savon »…
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2893
    Madagascar
    Prison de Moramanga, Madagascar.
    Bruno, 16 ans, purge sa peine dans cette cellule avec des adultes, dont deux sont menottés aux barreaux des lits car ils sont « évadés repris ». Il n’existe pas de cellule d’isolement dans cette prison. L’exiguïté et la vétusté sont terribles. Dans cette cellule de 35 m2, où règne une odeur âcre mêlée de transpiration et d’urine, les 101 détenus sont enfermés de 17h à 6h du matin. Ils dorment par terre ou sur des bas flancs, des lits en bois à deux étages avec au mieux, une natte pour seul matelas, envahie de punaises et de puces. Les mineurs disent avoir peur, car ils dorment dans la même cellule que les adultes…
    © Lizzie SADIN
    2893
    Madagascar
    Prison de Moramanga, Madagascar.
    Bruno, 16 ans, purge sa peine dans cette cellule avec des adultes, dont deux sont menottés aux barreaux des lits car ils sont « évadés repris ». Il n’existe pas de cellule d’isolement dans cette prison. L’exiguïté et la vétusté sont terribles. Dans cette cellule de 35 m2, où règne une odeur âcre mêlée de transpiration et d’urine, les 101 détenus sont enfermés de 17h à 6h du matin. Ils dorment par terre ou sur des bas flancs, des lits en bois à deux étages avec au mieux, une natte pour seul matelas, envahie de punaises et de puces. Les mineurs disent avoir peur, car ils dorment dans la même cellule que les adultes…
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2892
    Madagascar
    Prison de Moramanga, Madagascar
    Perdu au milieu de la foule des 280 prisonniers adultes, ce jeune, est comme onze autres mineurs, emprisonné pour avoir volé un coq ou du riz sur pied. Dans cette prison vétuste datant de 1880, ils passent toute la journée sous un soleil de plomb, dans une cour sans auvent, au milieu des eaux stagnantes et n’ont qu’un seul point d’eau. Ils sont enfermés de 17h à 6h du matin dans les cellules surpeuplées (101 détenus pour 35 m2 ou 67 pour 24 m2). La promiscuité, le manque d’hygiène et de soins sont la cause de maladies et d’infections graves.
    © Lizzie SADIN
    2892
    Madagascar
    Prison de Moramanga, Madagascar
    Perdu au milieu de la foule des 280 prisonniers adultes, ce jeune, est comme onze autres mineurs, emprisonné pour avoir volé un coq ou du riz sur pied. Dans cette prison vétuste datant de 1880, ils passent toute la journée sous un soleil de plomb, dans une cour sans auvent, au milieu des eaux stagnantes et n’ont qu’un seul point d’eau. Ils sont enfermés de 17h à 6h du matin dans les cellules surpeuplées (101 détenus pour 35 m2 ou 67 pour 24 m2). La promiscuité, le manque d’hygiène et de soins sont la cause de maladies et d’infections graves.
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2891
    Madagascar
    Prison de Moramanga, Madagascar
    Evariste et Philibert âgés de 13 ans, tous deux en prison pour avoir volé du riz sur pied car ils avaient faim. Ils viennent demander s’ils ont reçu un panier de nourriture de leur famille… La prison ne leur donne que du manioc qu’ils doivent cuire eux-mêmes. La malnutrition sévère, allant même jusqu’au décès -20 adultes en 2005- est un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches. Religieux et ONG tentent d’y remédier en distribuant du riz ou des légumes aux détenus.
    © Lizzie SADIN
    2891
    Madagascar
    Prison de Moramanga, Madagascar
    Evariste et Philibert âgés de 13 ans, tous deux en prison pour avoir volé du riz sur pied car ils avaient faim. Ils viennent demander s’ils ont reçu un panier de nourriture de leur famille… La prison ne leur donne que du manioc qu’ils doivent cuire eux-mêmes. La malnutrition sévère, allant même jusqu’au décès -20 adultes en 2005- est un des problèmes majeurs dans les prisons malgaches. Religieux et ONG tentent d’y remédier en distribuant du riz ou des légumes aux détenus.
    © Lizzie SADIN

     

  • Madagascar
    2890
    Madagascar
    2890
    Madagascar

     

  • Inde
    2889
    Inde
    Children Observation Home N°2, New Delhi, Inde.
    Dans cette prison gérée par l’Etat, le confinement est très sévère.
    La ronde des gardiens au-dessus des prisonniers, de jour comme de nuit...
    © Lizzie SADIN
    2889
    Inde
    Children Observation Home N°2, New Delhi, Inde.
    Dans cette prison gérée par l’Etat, le confinement est très sévère.
    La ronde des gardiens au-dessus des prisonniers, de jour comme de nuit...
    © Lizzie SADIN

     

  • Inde
    2888
    Inde
    Children Observation Home N°2, New Delhi, Inde.
    Dans cette prison gérée par l’Etat, le confinement est très sévère.
    Moment de la toilette et de lavage du linge.
    © Lizzie SADIN
    2888
    Inde
    Children Observation Home N°2, New Delhi, Inde.
    Dans cette prison gérée par l’Etat, le confinement est très sévère.
    Moment de la toilette et de lavage du linge.
    © Lizzie SADIN

     

  • Inde
    2887
    Inde
    Children Observation Home N°1, New Delhi, Inde.
    Dans cette institution fermée pour mineurs en conflit avec la loi, et gérée par une ONG, les détenus bénéficient de mesures éducatives et sociales. Cependant restent les exercices militaires au son des tambours...
    © Lizzie SADIN
    2887
    Inde
    Children Observation Home N°1, New Delhi, Inde.
    Dans cette institution fermée pour mineurs en conflit avec la loi, et gérée par une ONG, les détenus bénéficient de mesures éducatives et sociales. Cependant restent les exercices militaires au son des tambours...
    © Lizzie SADIN

     

  • Inde
    2886
    Inde
    Foyer d’accueil pour mineurs, Gare de New Delhi, Inde.
    Le « Social Railway’s Project » tente d'aider les mineurs à s’en sortir. Certains de ces gamins, arrêtés la veille pour vagabondage ou chapardage, verront le juge le lendemain et partiront pour le Children Observation Home N°I.
    © Lizzie SADIN
    2886
    Inde
    Foyer d’accueil pour mineurs, Gare de New Delhi, Inde.
    Le « Social Railway’s Project » tente d'aider les mineurs à s’en sortir. Certains de ces gamins, arrêtés la veille pour vagabondage ou chapardage, verront le juge le lendemain et partiront pour le Children Observation Home N°I.
    © Lizzie SADIN

     

  • Inde
    2885
    Inde
    2885
    Inde

     

  • Israël territoire occupés Gaza
    2884
    Israël territoire occupés Gaza
    Centre de réhabilitation juvénile Spring Institute, Gaza.
    Durant la journée, les jeunes alternent cours de bonne conduite dispensés par le Ministère des Religions et prières cinq fois par jour avec des moments de détente et de sport, d’enseignement scolaire ou des moments où ils s’adonnent à des dessins de portraits d’Arafat ou de dessins plus explicites…
    © Lizzie SADIN
    2884
    Israël territoire occupés Gaza
    Centre de réhabilitation juvénile Spring Institute, Gaza.
    Durant la journée, les jeunes alternent cours de bonne conduite dispensés par le Ministère des Religions et prières cinq fois par jour avec des moments de détente et de sport, d’enseignement scolaire ou des moments où ils s’adonnent à des dessins de portraits d’Arafat ou de dessins plus explicites…
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  • Israël territoire occupés Gaza
    2883
    Israël territoire occupés Gaza
    Centre de réhabilitation juvénile Dar el Amar, Ramallah, Cisjordanie.
    Durant la journée, les jeunes alternent prières cinq fois par jour, enseignement scolaire, ateliers de coiffure et moments de détente et de sport.
    © Lizzie SADIN
    2883
    Israël territoire occupés Gaza
    Centre de réhabilitation juvénile Dar el Amar, Ramallah, Cisjordanie.
    Durant la journée, les jeunes alternent prières cinq fois par jour, enseignement scolaire, ateliers de coiffure et moments de détente et de sport.
    © Lizzie SADIN