• Hôtels sans étoiles
    4663
    Hôtels sans étoiles
    Malika Kamel habite avec ses 4 enfants à l’hôtel Oberkampf, Rayan 8 ans, Marouan 6 ans, Jamel 16 ans et Houda 18 ans. Elle a deux chambres de 17 m 2.
    © Diane Grimonet
    24/04/2012
    4663
    24/04/2012
    Hôtels sans étoiles
    Malika Kamel habite avec ses 4 enfants à l’hôtel Oberkampf, Rayan 8 ans, Marouan 6 ans, Jamel 16 ans et Houda 18 ans. Elle a deux chambres de 17 m 2.
    © Diane Grimonet

     

  • USA
    2925
    USA
    Gonzalez Boot Camp, Malibu, Californie, USA
    Tous les matins après le petit-déjeuner, le dortoir doit être nettoyé et les affaires pliées et rangées au centimètre près, « à la  militaire ». Puis, sous la surveillance des caméras et du gardien, les jeunes doivent attendre le moment de la classe, allongés sur leur lit, les têtes le plus éloignées possible les unes des autres, car ils n’ont pas le droit de se parler. Le gardien passera en revue l’état du dortoir et tout manquement sera puni.
    © Lizzie SADIN
    2925
    USA
    Gonzalez Boot Camp, Malibu, Californie, USA
    Tous les matins après le petit-déjeuner, le dortoir doit être nettoyé et les affaires pliées et rangées au centimètre près, « à la  militaire ». Puis, sous la surveillance des caméras et du gardien, les jeunes doivent attendre le moment de la classe, allongés sur leur lit, les têtes le plus éloignées possible les unes des autres, car ils n’ont pas le droit de se parler. Le gardien passera en revue l’état du dortoir et tout manquement sera puni.
    © Lizzie SADIN

     

  • Colombie
    2872
    Colombie
    Centre de travail El Redentor, Bogota, Colombie. Tous les matins, têtes baissées, les détenus tournent en rond comme des automates dans leur cellule, serpillière à chaque pied pour nettoyer le sol…
    © Lizzie SADIN
    2872
    Colombie
    Centre de travail El Redentor, Bogota, Colombie. Tous les matins, têtes baissées, les détenus tournent en rond comme des automates dans leur cellule, serpillière à chaque pied pour nettoyer le sol…
    © Lizzie SADIN

     

  • Le Dernier Empire
    3215
    Le Dernier Empire
    Cellule de dégrisement. Saint Petersbourg, janvier 2003
    © Sergey Maximishin / Focus
    01/01/2003
    3215
    01/01/2003
    Le Dernier Empire
    Cellule de dégrisement. Saint Petersbourg, janvier 2003
    © Sergey Maximishin / Focus

     

  • Cambodge
    2863
    Cambodge
    Centre fermé de réhabilitation pour la jeunesse, Phnom Penh, Cambodge.
    Dans les cellules, les mineurs dorment à la dure sur des sommiers en bois, sans matelas. Les mineurs, de 7 à 18 ans, sont amenés par la police, après de petits délits comme le vol de riz sur pied ou la consommation de drogue. Placés pour être « redressés », ils ne seront pas présentés au juge.
    © Lizzie SADIN
    2863
    Cambodge
    Centre fermé de réhabilitation pour la jeunesse, Phnom Penh, Cambodge.
    Dans les cellules, les mineurs dorment à la dure sur des sommiers en bois, sans matelas. Les mineurs, de 7 à 18 ans, sont amenés par la police, après de petits délits comme le vol de riz sur pied ou la consommation de drogue. Placés pour être « redressés », ils ne seront pas présentés au juge.
    © Lizzie SADIN

     

  • Russie
    2847
    Russie
    Isolateur d'instruction de Lebedeva (Préventive), Quartier des mineurs, Saint-Pétersbourg, Russie. Dimitri, 13 ans, est le souffre-douleur des adultes détenus avec lui dans cette fameuse cellule N° 90, dénoncée par Amnesty International et l’Observatoire International des Prisons (OIP), et tristement célèbre pour les traitements infligés par des prisonniers « matons » sur les mineurs : sévices, viols, humiliations, tatouage des prisonniers considérés comme inférieurs…
    Ceux-ci dorment à tour de rôle. Il y a que 6 lits pour 24 personnes…
    © Lizzie SADIN
    2847
    Russie
    Isolateur d'instruction de Lebedeva (Préventive), Quartier des mineurs, Saint-Pétersbourg, Russie. Dimitri, 13 ans, est le souffre-douleur des adultes détenus avec lui dans cette fameuse cellule N° 90, dénoncée par Amnesty International et l’Observatoire International des Prisons (OIP), et tristement célèbre pour les traitements infligés par des prisonniers « matons » sur les mineurs : sévices, viols, humiliations, tatouage des prisonniers considérés comme inférieurs…
    Ceux-ci dorment à tour de rôle. Il y a que 6 lits pour 24 personnes…
    © Lizzie SADIN