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  • Les oubliés du périph
    4629
    Les oubliés du périph
    France, Paris 2015 - Porte d’Orléans , Joseph
    Joseph 50 ans, une tente à quelques mètres de la voie. . Dans sa tente un homme qui ne parle pas un mot de français : il est anglais. C’est un échoué de Schengen. Pas expulsable, mais sans ressources il ne peut pas rentrer chez lui, où personne ne l’attend…

    © Diane Grimonet
    13/04/2015
    4629
    13/04/2015
    Les oubliés du périph
    France, Paris 2015 - Porte d’Orléans , Joseph
    Joseph 50 ans, une tente à quelques mètres de la voie. . Dans sa tente un homme qui ne parle pas un mot de français : il est anglais. C’est un échoué de Schengen. Pas expulsable, mais sans ressources il ne peut pas rentrer chez lui, où personne ne l’attend…

    © Diane Grimonet

     

  • Les oubliés du périph
    4628
    Les oubliés du périph
    France, Paris 2015 - Porte d’Orléans , Joseph
    Joseph 50 ans, une tente à quelques mètres de la voie. . Dans sa tente un homme qui ne parle pas un mot de français : il est anglais. C’est un échoué de Schengen. Pas expulsable, mais sans ressources il ne peut pas rentrer chez lui, où personne ne l’attend…

    © Diane Grimonet
    13/04/2015
    4628
    13/04/2015
    Les oubliés du périph
    France, Paris 2015 - Porte d’Orléans , Joseph
    Joseph 50 ans, une tente à quelques mètres de la voie. . Dans sa tente un homme qui ne parle pas un mot de français : il est anglais. C’est un échoué de Schengen. Pas expulsable, mais sans ressources il ne peut pas rentrer chez lui, où personne ne l’attend…

    © Diane Grimonet

     

  • Les oubliés du périph
    4590
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet
    18/09/2014
    4590
    18/09/2014
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet

     

  • Les oubliés du périph
    4591
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet
    16/09/2014
    4591
    16/09/2014
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet

     

  • Les oubliés du périph
    4589
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet
    16/09/2014
    4589
    16/09/2014
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet

     

  • AA - Displaced Yazidis
    6640
    AA - Displaced Yazidis
    Displaced Yazidis
    Aamir porte sa femme Ghazala sur son dos en raison de son état fragile dû à la faim et la déshydratation alors qu'ils entrent au Kurdistan par la frontière avec la Syrie à Faysh Khabur, Zakho, Irak, le 9 août 2014.
    © Ali Arkady / VII Mentor Program
    09/08/2014
    6640
    09/08/2014
    AA - Displaced Yazidis
    Displaced Yazidis
    Aamir porte sa femme Ghazala sur son dos en raison de son état fragile dû à la faim et la déshydratation alors qu'ils entrent au Kurdistan par la frontière avec la Syrie à Faysh Khabur, Zakho, Irak, le 9 août 2014.
    © Ali Arkady / VII Mentor Program
    Mandatory Credit: Ali Arkady/VII Mentor Program

     

  • Les oubliés du périph
    4588
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet
    15/07/2014
    4588
    15/07/2014
    Les oubliés du périph
    France - Paris 2015- 2014 Porte des Ternes, Emile.
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet

     

  • Les oubliés du périph
    4587
    Les oubliés du périph
    France, Paris , 2014- 2015- Porte des Ternes, Emile.`
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet
    10/07/2014
    4587
    10/07/2014
    Les oubliés du périph
    France, Paris , 2014- 2015- Porte des Ternes, Emile.`
    Emile, 61 ans, à la rue depuis 2002, vient de Belgique. Il a travaillé comme facteur de 14 à 16 ans, puis comme manœuvre dans le bâtiment. Il s’est marié à 18 ans. Emile ne touche pas le RSA. Il vit de la manche. Il a lui-même acheté sa tente pour 4 personnes : 90 euros : « Médecins du Monde ne donne plus de tente, va savoir pourquoi. Emile fait la manche à Franprix. Il recharge aussi son portable là bas. Sa vie est réglée comme n’importe quelle personne active. Tous les matins il se lève, boit son café, se lave à l’eau froide et part faire la manche. « Regarde, Diane, t’es un peu comme en vacances ici... Tu veux un café ? »

    © Diane Grimonet

     

  • Burning Man
    2414
    Burning Man
    À Burning Man, il n’y a pas de spectateurs, que des participants. Le minimum, c’est de venir déguisé. Les 70 000 billets du festival se vendent sur Internet en quelques secondes et coûtent 340 euros.
    © Eric Bouvet
    01/09/2012
    2414
    01/09/2012
    Burning Man
    À Burning Man, il n’y a pas de spectateurs, que des participants. Le minimum, c’est de venir déguisé. Les 70 000 billets du festival se vendent sur Internet en quelques secondes et coûtent 340 euros.
    © Eric Bouvet

     

  • Le Dernier Empire
    3206
    Le Dernier Empire
    Tchétchénie, Janvier 2000
    © Sergey Maximishin / Focus
    28/01/2000
    3206
    28/01/2000
    Le Dernier Empire
    Tchétchénie, Janvier 2000
    © Sergey Maximishin / Focus