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1841
Crise humanitaire en Centrafrique
À Grimari, une femme donne de l’eau à un enfant dans l’enceinte de la mission catholique où 4 800 déplacés viennent de se réfugier, fuyant les combats entre Séléka et anti-balaka.
William Daniels
1841
Crise humanitaire en Centrafrique
À Grimari, une femme donne de l’eau à un enfant dans l’enceinte de la mission catholique où 4 800 déplacés viennent de se réfugier, fuyant les combats entre Séléka et anti-balaka.
William Daniels
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1837
Crise humanitaire en Centrafrique
Dans le village de Gulinga, une femme pleure la mort de son mari, tué par la Séléka qui l’accusait d’être un anti-balaka.
William Daniels
1837
Crise humanitaire en Centrafrique
Dans le village de Gulinga, une femme pleure la mort de son mari, tué par la Séléka qui l’accusait d’être un anti-balaka.
William Daniels
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1811
Crise humanitaire en Centrafrique
Selon Médecins sans Frontières, Koulsimi Bouba, 35 ans, souffre de tuberculose. Elle ne peut être soignée car elle habite l’enclave musulmane de Bégoua, en périphérie de Bangui, et ne peut en sortir sans risquer d’être attaquée par les anti-balaka.
William Daniels
1811
Crise humanitaire en Centrafrique
Selon Médecins sans Frontières, Koulsimi Bouba, 35 ans, souffre de tuberculose. Elle ne peut être soignée car elle habite l’enclave musulmane de Bégoua, en périphérie de Bangui, et ne peut en sortir sans risquer d’être attaquée par les anti-balaka.
William Daniels
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1806
Crise humanitaire en Centrafrique
Ousman Mustapha souffre d’une infection d’origine inconnue qui le paralyse depuis une semaine. Comme 11 000 autres musulmans, il ne peut être soigné car il est enfermé dans le quartier musulman de Boda. Toute personne qui tente d’en sortir est attaquée par des anti-balaka.
William Daniels
1806
Crise humanitaire en Centrafrique
Ousman Mustapha souffre d’une infection d’origine inconnue qui le paralyse depuis une semaine. Comme 11 000 autres musulmans, il ne peut être soigné car il est enfermé dans le quartier musulman de Boda. Toute personne qui tente d’en sortir est attaquée par des anti-balaka.
William Daniels
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1799
Crise humanitaire en Centrafrique
Des musulmans grimpent sur le toit d’un camion, espérant fuir l’enclave de PK-5 à Bangui où ils sont assiégés depuis plusieurs mois par des anti-balaka. Pour des raisons de sécurité, le camion ne partira pas.
William Daniels
01/04/2014 1799
01/04/2014
Crise humanitaire en Centrafrique
Des musulmans grimpent sur le toit d’un camion, espérant fuir l’enclave de PK-5 à Bangui où ils sont assiégés depuis plusieurs mois par des anti-balaka. Pour des raisons de sécurité, le camion ne partira pas.
William Daniels
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1845
Crise humanitaire en Centrafrique
Des déplacés musulmans qui vivent dans l’enceinte de la mosquée du quartier de PK-5 écoutent les discours de la ministre de la Réconciliation et de l’imam.
William Daniels
1845
Crise humanitaire en Centrafrique
Des déplacés musulmans qui vivent dans l’enceinte de la mosquée du quartier de PK-5 écoutent les discours de la ministre de la Réconciliation et de l’imam.
William Daniels
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1843
Crise humanitaire en Centrafrique
Des pilleurs fouillent les décombres d’une entreprise dont les propriétaires musulmans ont fui Bangui.
William Daniels
1843
Crise humanitaire en Centrafrique
Des pilleurs fouillent les décombres d’une entreprise dont les propriétaires musulmans ont fui Bangui.
William Daniels
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1840
Crise humanitaire en Centrafrique
À Bangui, des militaires français chassent des jeunes chrétiens qui pillent des maisons dont les propriétaires musulmans ont fui la capitale.
William Daniels
1840
Crise humanitaire en Centrafrique
À Bangui, des militaires français chassent des jeunes chrétiens qui pillent des maisons dont les propriétaires musulmans ont fui la capitale.
William Daniels
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1836
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme pose sur le balcon du palais de l’ancien empereur Bokassa où 500 jeunes survivent en mangeant des rats et des serpents. Ils ne peuvent même pas sortir chercher de la nourriture sans risquer d’être attaqués, accusés d’avoir collaboré avec la Séléka qui les avait recrutés.
William Daniels
1836
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme pose sur le balcon du palais de l’ancien empereur Bokassa où 500 jeunes survivent en mangeant des rats et des serpents. Ils ne peuvent même pas sortir chercher de la nourriture sans risquer d’être attaqués, accusés d’avoir collaboré avec la Séléka qui les avait recrutés.
William Daniels
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1835
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme pose dans le palais de l’empereur Bokassa où 500 jeunes survivent. Majoritairement chrétiens, ils avaient été recrutés par la Séléka, puis abandonnés ici lors de la fuite du groupe rebelle. Ils n’osent sortir de peur d’être accusés de traîtrise et tués.
William Daniels
1835
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme pose dans le palais de l’empereur Bokassa où 500 jeunes survivent. Majoritairement chrétiens, ils avaient été recrutés par la Séléka, puis abandonnés ici lors de la fuite du groupe rebelle. Ils n’osent sortir de peur d’être accusés de traîtrise et tués.
William Daniels
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1832
Crise humanitaire en Centrafrique
Un hélicoptère de l’armée française atterrit à l’aéroport M’Poko de Bangui, sous le regard de déplacés musulmans qui attendent désespérément d’être évacués vers le Tchad.
William Daniels
1832
Crise humanitaire en Centrafrique
Un hélicoptère de l’armée française atterrit à l’aéroport M’Poko de Bangui, sous le regard de déplacés musulmans qui attendent désespérément d’être évacués vers le Tchad.
William Daniels
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1831
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme est allongé sur le sol, les mains liées dans le dos. Il a été arrêté par la MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine) avec une grenade dans sa poche. De telles grenades coûtent 30 centimes d’euro à Bangui et sont utilisées lors de nombreuses attaques.
William Daniels
1831
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme est allongé sur le sol, les mains liées dans le dos. Il a été arrêté par la MISCA (Mission internationale de soutien à la Centrafrique sous conduite africaine) avec une grenade dans sa poche. De telles grenades coûtent 30 centimes d’euro à Bangui et sont utilisées lors de nombreuses attaques.
William Daniels
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1812
Crise humanitaire en Centrafrique
Un chrétien, blessé lors de combats avec des musulmans, attend d’être soigné à l’hôpital communautaire de Bangui.
William Daniels
1812
Crise humanitaire en Centrafrique
Un chrétien, blessé lors de combats avec des musulmans, attend d’être soigné à l’hôpital communautaire de Bangui.
William Daniels
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1810
Crise humanitaire en Centrafrique
Des miliciens anti-balaka rentrent d’une attaque contre un village peul, ethnie de confession musulmane.
William Daniels
1810
Crise humanitaire en Centrafrique
Des miliciens anti-balaka rentrent d’une attaque contre un village peul, ethnie de confession musulmane.
William Daniels
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1804
Crise humanitaire en Centrafrique
Des enfants de chœur lors de la préparation de la messe dominicale à l’église de Boali, où plusieurs centaines de musulmans menacés par des anti-balaka se sont réfugiés, sous la protection du père Xavier-Arnauld Fagba.
William Daniels
1804
Crise humanitaire en Centrafrique
Des enfants de chœur lors de la préparation de la messe dominicale à l’église de Boali, où plusieurs centaines de musulmans menacés par des anti-balaka se sont réfugiés, sous la protection du père Xavier-Arnauld Fagba.
William Daniels
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1803
Crise humanitaire en Centrafrique
À Zawa, le corps d’un homme décapité, les mains liées dans le dos, gît à terre près d’un anti-balaka.
William Daniels
1803
Crise humanitaire en Centrafrique
À Zawa, le corps d’un homme décapité, les mains liées dans le dos, gît à terre près d’un anti-balaka.
William Daniels
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1802
Crise humanitaire en Centrafrique
Dans le village de Zawa, une maison pillée et brûlée par la Séléka lors de leur fuite vers le nord.
William Daniels
1802
Crise humanitaire en Centrafrique
Dans le village de Zawa, une maison pillée et brûlée par la Séléka lors de leur fuite vers le nord.
William Daniels
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1846
Crise humanitaire en Centrafrique
De rage, un chrétien détruit des carcasses de voitures appartenant à des musulmans et brûlées un peu plus tôt, près d’une mosquée pillée par de nombreux chrétiens à Bangui.
William Daniels
1846
Crise humanitaire en Centrafrique
De rage, un chrétien détruit des carcasses de voitures appartenant à des musulmans et brûlées un peu plus tôt, près d’une mosquée pillée par de nombreux chrétiens à Bangui.
William Daniels
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1844
Crise humanitaire en Centrafrique
Des déplacés protestent contre le manque de nourriture dans le camp de Don Bosco qui abrite près de 18 000 personnes ayant fui les violences entre Séléka et anti-balaka à Bangui.
William Daniels
1844
Crise humanitaire en Centrafrique
Des déplacés protestent contre le manque de nourriture dans le camp de Don Bosco qui abrite près de 18 000 personnes ayant fui les violences entre Séléka et anti-balaka à Bangui.
William Daniels
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1838
Crise humanitaire en Centrafrique
Une proche pleure la mort de Sept-Abel Sangomalet, un chrétien de 20 ans qui a été poignardé par des musulmans alors qu’il dormait dans la maison familiale.
William Daniels
1838
Crise humanitaire en Centrafrique
Une proche pleure la mort de Sept-Abel Sangomalet, un chrétien de 20 ans qui a été poignardé par des musulmans alors qu’il dormait dans la maison familiale.
William Daniels
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1834
Crise humanitaire en Centrafrique
Près de 100 000 déplacés ayant fui les violences s’entassent à l’aéroport M’Poko de Bangui où est basée l’armée française. Les conditions sanitaires sont désastreuses et l’accès à la nourriture, à l’eau et aux soins quasi inexistant.
William Daniels
1834
Crise humanitaire en Centrafrique
Près de 100 000 déplacés ayant fui les violences s’entassent à l’aéroport M’Poko de Bangui où est basée l’armée française. Les conditions sanitaires sont désastreuses et l’accès à la nourriture, à l’eau et aux soins quasi inexistant.
William Daniels
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1809
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme prépare des corps pour l’inhumation à la morgue de l’hôpital communautaire de Bangui où se trouvent plusieurs dizaines de victimes, toutes chrétiennes, tuées par la Séléka lors des violences du 5 décembre.
William Daniels
1809
Crise humanitaire en Centrafrique
Un homme prépare des corps pour l’inhumation à la morgue de l’hôpital communautaire de Bangui où se trouvent plusieurs dizaines de victimes, toutes chrétiennes, tuées par la Séléka lors des violences du 5 décembre.
William Daniels
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1808
Crise humanitaire en Centrafrique
Des blessés sont étendus sur le sol à l’hôpital communautaire de Bangui lors des violences du 5 décembre 2013 pendant lesquelles les anti-balaka ont tenté de reprendre la ville.
William Daniels
05/12/2013 1808
05/12/2013
Crise humanitaire en Centrafrique
Des blessés sont étendus sur le sol à l’hôpital communautaire de Bangui lors des violences du 5 décembre 2013 pendant lesquelles les anti-balaka ont tenté de reprendre la ville.
William Daniels
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1807
Crise humanitaire en Centrafrique
Des miliciens anti-balaka se cachent dans la brousse près de Bangui la veille d’une attaque majeure sur la ville. Les violences des jours suivants feront près d’un millier de morts et plus de 160 000 déplacés
William Daniels
1807
Crise humanitaire en Centrafrique
Des miliciens anti-balaka se cachent dans la brousse près de Bangui la veille d’une attaque majeure sur la ville. Les violences des jours suivants feront près d’un millier de morts et plus de 160 000 déplacés
William Daniels
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1805
Crise humanitaire en Centrafrique
Des enfants peuls blessés sont gardés par des soldats de la force internationale africaine de la MISCA. Des anti-balaka ont attaqué leur village, tuant dix adultes et blessant de nombreux enfants.
William Daniels
1805
Crise humanitaire en Centrafrique
Des enfants peuls blessés sont gardés par des soldats de la force internationale africaine de la MISCA. Des anti-balaka ont attaqué leur village, tuant dix adultes et blessant de nombreux enfants.
William Daniels
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1801
Crise humanitaire en Centrafrique
Des civils réfugiés dans la brousse et des anti-balaka traversent une rivière sur le chemin de leur village attaqué quelques semaines plus tôt par la Séléka.
William Daniels
1801
Crise humanitaire en Centrafrique
Des civils réfugiés dans la brousse et des anti-balaka traversent une rivière sur le chemin de leur village attaqué quelques semaines plus tôt par la Séléka.
William Daniels
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1800
Crise humanitaire en Centrafrique
Entre Bossangoa et Bossembelé, des civils se cachent dans la brousse suite à l’attaque et le pillage de leur village par la Séléka.
William Daniels
21/11/2013 1800
21/11/2013
Crise humanitaire en Centrafrique
Entre Bossangoa et Bossembelé, des civils se cachent dans la brousse suite à l’attaque et le pillage de leur village par la Séléka.
William Daniels
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1842
Crise humanitaire en Centrafrique
Des jeunes manifestent à Bangui, à l’endroit même où, la veille, des membres de la Séléka ont assassiné le magistrat Modeste Martineau Bria. 30 minutes plus tard, des membres de la Séléka tireront dans la foule, tuant 2 personnes.
William Daniels
1842
Crise humanitaire en Centrafrique
Des jeunes manifestent à Bangui, à l’endroit même où, la veille, des membres de la Séléka ont assassiné le magistrat Modeste Martineau Bria. 30 minutes plus tard, des membres de la Séléka tireront dans la foule, tuant 2 personnes.
William Daniels
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1839
Crise humanitaire en Centrafrique
À Bangui, des soldats des Forces armées centrafricaines (FACA) pleurent la mort d’un des leurs, assassiné par des membres de la Séléka.
William Daniels
1839
Crise humanitaire en Centrafrique
À Bangui, des soldats des Forces armées centrafricaines (FACA) pleurent la mort d’un des leurs, assassiné par des membres de la Séléka.
William Daniels
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1833
Crise humanitaire en Centrafrique
Cette petite fille vient de perdre un membre de sa famille, Fleury Domana, 21 ans, tuée deux jours plus tôt par une grenade lancée par un membre de la Séléka.
William Daniels
1833
Crise humanitaire en Centrafrique
Cette petite fille vient de perdre un membre de sa famille, Fleury Domana, 21 ans, tuée deux jours plus tôt par une grenade lancée par un membre de la Séléka.
William Daniels
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3525
Je m’appelle Filda Adoch
Filda avec ses petits enfants. 5 d'entres eux ont disparu.
© Martina Bacigalupo
27/05/2011 3525
27/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
Filda avec ses petits enfants. 5 d'entres eux ont disparu.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3536
Je m’appelle Filda Adoch
Voici mon frère Odong assis à côté de la maison la nuit sous un ciel étoilé. Les étoiles sont très importantes car elles nous renseignent sur le temps. Par exemple "Latwok", qui est une grande étoile, nous pouvons la suivre à travers le ciel du coucher au lever du soleil. A plusieurs reprises, les étoiles nous ont aussi aidé lorsque nous tentions d'échapper aux rebelles, elles nous éclairaient. Aussi lorsque un enfant pleurait et risquait de nous faire entendre par les rebelles, nous lui disions que les étoiles allaient lui tombé dessus, alors il regardait le ciel et tellement effrayé il arrêtait immédiatement de pleurer.
© Martina Bacigalupo
3536
Je m’appelle Filda Adoch
Voici mon frère Odong assis à côté de la maison la nuit sous un ciel étoilé. Les étoiles sont très importantes car elles nous renseignent sur le temps. Par exemple "Latwok", qui est une grande étoile, nous pouvons la suivre à travers le ciel du coucher au lever du soleil. A plusieurs reprises, les étoiles nous ont aussi aidé lorsque nous tentions d'échapper aux rebelles, elles nous éclairaient. Aussi lorsque un enfant pleurait et risquait de nous faire entendre par les rebelles, nous lui disions que les étoiles allaient lui tombé dessus, alors il regardait le ciel et tellement effrayé il arrêtait immédiatement de pleurer.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3528
Je m’appelle Filda Adoch
C'est la rivière Toshi. C'est ici que je faisais ma toilette lorsque que j'étais au camp de Bobi, car elle coule juste à côté du camp.
Aujourd'hui je n'y vais que très rarement à cause de la distance qui nous sépare.
© Martina Bacigalupo
24/05/2011 3528
24/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
C'est la rivière Toshi. C'est ici que je faisais ma toilette lorsque que j'étais au camp de Bobi, car elle coule juste à côté du camp.
Aujourd'hui je n'y vais que très rarement à cause de la distance qui nous sépare.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3523
Je m’appelle Filda Adoch
C'est ici que j'ai perdu ma jambe sur une mine terrestre. C'est arrivé tôt le matin, j'allais travailler aux champs. Il avait plut, je ne pouvais pas bien voir le chemin, tout était boueux et couvert de feuilles. J'ai marché dessus, la mine a explosé instantanément. J'ai passé trois à l'hôpital et suis revenue à la maison avec un seul pied, pour découvrir que mon mari avait été tué par les rebelles.
Je suis heureuse d'être revenue ici. Je n'y étais jamais retourner avant et j'avais peur. Je pensais que j'allais marcher sur une autre mine terrestre mais cela n'est pas arrivé.
Maintenant que je marche sereinement là bas, je sais que je peux parcourir le monde entier.
© Martina Bacigalupo
23/05/2011 3523
23/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
C'est ici que j'ai perdu ma jambe sur une mine terrestre. C'est arrivé tôt le matin, j'allais travailler aux champs. Il avait plut, je ne pouvais pas bien voir le chemin, tout était boueux et couvert de feuilles. J'ai marché dessus, la mine a explosé instantanément. J'ai passé trois à l'hôpital et suis revenue à la maison avec un seul pied, pour découvrir que mon mari avait été tué par les rebelles.
Je suis heureuse d'être revenue ici. Je n'y étais jamais retourner avant et j'avais peur. Je pensais que j'allais marcher sur une autre mine terrestre mais cela n'est pas arrivé.
Maintenant que je marche sereinement là bas, je sais que je peux parcourir le monde entier.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3517
Je m’appelle Filda Adoch
"Ma petite fille Acayo nettoie les haricots. Elle le fait très bien! Elle deviendra une "bonne femme".
© Martina Bacigalupo
22/05/2011 3517
22/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
"Ma petite fille Acayo nettoie les haricots. Elle le fait très bien! Elle deviendra une "bonne femme".
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3535
Je m’appelle Filda Adoch
Je suis en train d'apprendre à ma petite fille Ayenyo comment danser correctement la danse Acholi autour du feu.
© Martina Bacigalupo
20/05/2011 3535
20/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
Je suis en train d'apprendre à ma petite fille Ayenyo comment danser correctement la danse Acholi autour du feu.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3519
Je m’appelle Filda Adoch
"Voici ma mère qui marche d'un pas rapide en dessous des papayer. Je ne sais pas où elle se rend si hâtivement, il semble qu'elle cherche quelqu'un."
© Martina Bacigalupo
20/05/2011 3519
20/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
"Voici ma mère qui marche d'un pas rapide en dessous des papayer. Je ne sais pas où elle se rend si hâtivement, il semble qu'elle cherche quelqu'un."
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3534
Je m’appelle Filda Adoch
Voici ma petite fille Ayenyo. Elle a un visage dur, elle l'a toujours eu. C'est une enfant courageuse. Elle n'est pas craintive. Elle deviendra une femme forte.
© Martina Bacigalupo
18/05/2011 3534
18/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
Voici ma petite fille Ayenyo. Elle a un visage dur, elle l'a toujours eu. C'est une enfant courageuse. Elle n'est pas craintive. Elle deviendra une femme forte.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3533
Je m’appelle Filda Adoch
Je suis en train de préparer le feu des Acholi pour la nuit.
© Martina Bacigalupo
18/05/2011 3533
18/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
Je suis en train de préparer le feu des Acholi pour la nuit.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3532
Je m’appelle Filda Adoch
Me voici avec ma mère priant dieu de nous protéger pendant notre sommeil afin de nous réveiller dans sa lumière.
© Martina Bacigalupo
18/05/2011 3532
18/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
Me voici avec ma mère priant dieu de nous protéger pendant notre sommeil afin de nous réveiller dans sa lumière.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3515
Je m’appelle Filda Adoch
C'est moi, ma fille Grace et sa fille Ayenyo, en fin d'après-midi lorsque Grace était revenu de couper l'herbe. Cette photo montre que nous sommes proches les unes des autres.
© Martina Bacigalupo
17/05/2011 3515
17/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
C'est moi, ma fille Grace et sa fille Ayenyo, en fin d'après-midi lorsque Grace était revenu de couper l'herbe. Cette photo montre que nous sommes proches les unes des autres.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3531
Je m’appelle Filda Adoch
Je vois ma mère qui me regarde et je vois dans ses yeux sa fierté à l'égard de mon travail.
Je me rends compte que ma force de travail peut égaler celle d'une personne ordinaire malgré mon handicape.
© Martina Bacigalupo
17/05/2011 3531
17/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
Je vois ma mère qui me regarde et je vois dans ses yeux sa fierté à l'égard de mon travail.
Je me rends compte que ma force de travail peut égaler celle d'une personne ordinaire malgré mon handicape.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3527
Je m’appelle Filda Adoch
C'est une photo très représentative car nous y retrouvons tout le monde, même le coq. C'est très clair.
© Martina Bacigalupo
17/05/2011 3527
17/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
C'est une photo très représentative car nous y retrouvons tout le monde, même le coq. C'est très clair.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3521
Je m’appelle Filda Adoch
"Je peux travailler dans n'importe quel endroit, sur mon lieu de vie, dans la garrigue, dans la forêt, au soleil. Rien ne peu m'empêcher de travailler, sauf lorsque je suis malade."
© Martina Bacigalupo
17/05/2011 3521
17/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
"Je peux travailler dans n'importe quel endroit, sur mon lieu de vie, dans la garrigue, dans la forêt, au soleil. Rien ne peu m'empêcher de travailler, sauf lorsque je suis malade."
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3520
Je m’appelle Filda Adoch
"Cette photo est bien représentative de ma vie car c'est ce que je fais tous les jours. Je fais ce travail toute seule car je n'ai pas les moyens de payer quelqu'un pour le faire à ma place."
© Martina Bacigalupo
17/05/2011 3520
17/05/2011
Je m’appelle Filda Adoch
"Cette photo est bien représentative de ma vie car c'est ce que je fais tous les jours. Je fais ce travail toute seule car je n'ai pas les moyens de payer quelqu'un pour le faire à ma place."
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3514
Je m’appelle Filda Adoch
Là, je n'avais pas de hache ni de panga avec moi pour couper le bois, j'ai donc décidé de me servir de ma tête pour le briser. Mon dos dépeint beaucoup de force et me rappelle que même lorsque je suis affamé je peux toujours prendre soin de ma famille.
© Martina Bacigalupo
3514
Je m’appelle Filda Adoch
Là, je n'avais pas de hache ni de panga avec moi pour couper le bois, j'ai donc décidé de me servir de ma tête pour le briser. Mon dos dépeint beaucoup de force et me rappelle que même lorsque je suis affamé je peux toujours prendre soin de ma famille.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3524
Je m’appelle Filda Adoch
Là, je suis en train de briser du petit bois pour le feu avec beaucoup de force.
© Martina Bacigalupo
13/09/2010 3524
13/09/2010
Je m’appelle Filda Adoch
Là, je suis en train de briser du petit bois pour le feu avec beaucoup de force.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3512
Je m’appelle Filda Adoch
Me voici marchant près du grand "Kataluc".
© Martina Bacigalupo
13/09/2010 3512
13/09/2010
Je m’appelle Filda Adoch
Me voici marchant près du grand "Kataluc".
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3530
Je m’appelle Filda Adoch
Je suis au milieu d'une plantation de maïs avec ma bouche grande ouverte, mes cheveux en bataille comme ceux des rebelles et ma poitrine pendante.
J'ai l'air très attirante avec ces feuilles autour de moi qui ressemlent à des fleurs.
© Martina Bacigalupo
21/05/2010 3530
21/05/2010
Je m’appelle Filda Adoch
Je suis au milieu d'une plantation de maïs avec ma bouche grande ouverte, mes cheveux en bataille comme ceux des rebelles et ma poitrine pendante.
J'ai l'air très attirante avec ces feuilles autour de moi qui ressemlent à des fleurs.
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo
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3518
Je m’appelle Filda Adoch
"La prière avant le repas avec mes petits enfants Ayenyo, Faida, Ojok"
© Martina Bacigalupo
20/05/2010 3518
20/05/2010
Je m’appelle Filda Adoch
"La prière avant le repas avec mes petits enfants Ayenyo, Faida, Ojok"
© Martina Bacigalupo
Martina Bacigalupo