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  • Les oubliés du périph
    4638
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

    © Diane Grimonet
    09/08/2014
    4638
    09/08/2014
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

    © Diane Grimonet

     

  • Les oubliés du périph
    4636
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

    © Diane Grimonet
    09/08/2014
    4636
    09/08/2014
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

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  • Les oubliés du périph
    4635
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

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    09/08/2014
    4635
    09/08/2014
    Les oubliés du périph
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    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

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    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

    © Diane Grimonet
    09/08/2014
    4634
    09/08/2014
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    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

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  • Les oubliés du périph
    4637
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

    © Diane Grimonet
    07/08/2014
    4637
    07/08/2014
    Les oubliés du périph
    France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
    David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...

    © Diane Grimonet

     

  • Crise humanitaire en Centrafrique
    1806
    Crise humanitaire en Centrafrique
    Ousman Mustapha souffre d’une infection d’origine inconnue qui le paralyse depuis une semaine. Comme 11 000 autres musulmans, il ne peut être soigné car il est enfermé dans le quartier musulman de Boda. Toute personne qui tente d’en sortir est attaquée par des anti-balaka.
    William Daniels
    1806
    Crise humanitaire en Centrafrique
    Ousman Mustapha souffre d’une infection d’origine inconnue qui le paralyse depuis une semaine. Comme 11 000 autres musulmans, il ne peut être soigné car il est enfermé dans le quartier musulman de Boda. Toute personne qui tente d’en sortir est attaquée par des anti-balaka.
    William Daniels

     

  • Le retour des concubines
    3473
    Le retour des concubines
    Dernière nuit de Dazhu avant de partir pour la ville. Elle songe aux amies qu'elle va retrouver. Certaines sont devenues concubines : un riche homme marié leur paie un appartement et subvient à leurs besoins.
    © Axelle de Russé
    3473
    Le retour des concubines
    Dernière nuit de Dazhu avant de partir pour la ville. Elle songe aux amies qu'elle va retrouver. Certaines sont devenues concubines : un riche homme marié leur paie un appartement et subvient à leurs besoins.
    © Axelle de Russé

     

  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3908
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Internal body search by prison gynecologist after visiting rights. In most countries this practice is forbidden without orders from a judge. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
    3908
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Internal body search by prison gynecologist after visiting rights. In most countries this practice is forbidden without orders from a judge. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
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  • Le retour des concubines
    3492
    Le retour des concubines
    Comme Nanhua, les concubines sont souvent jeunes et jolies. Entourées d'hommes, elles sont dédaignés par la société et passent leurs semaines seules, en attente d'une éventuelle visite.
    © Axelle de Russé
    3492
    Le retour des concubines
    Comme Nanhua, les concubines sont souvent jeunes et jolies. Entourées d'hommes, elles sont dédaignés par la société et passent leurs semaines seules, en attente d'une éventuelle visite.
    © Axelle de Russé

     

  • Le retour des concubines
    3505
    Le retour des concubines
    Le prix à payer pour les concubines rêvant de réussite : la solitude.
    © Axelle de Russé
    14/11/2007
    3505
    14/11/2007
    Le retour des concubines
    Le prix à payer pour les concubines rêvant de réussite : la solitude.
    © Axelle de Russé

     

  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3882
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Afternoon in a cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Châlons-sur-Marne, France, 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
    3882
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Afternoon in a cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Châlons-sur-Marne, France, 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
    NOT FOR PRESS OR TV! Do not crop.

     

  • Trop de Peines – Femmes en prison
    4005
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Strip search after eight hours on the chain gang. Maricopa County Jail, Phoenix, Arizona, U.S.A., 1997.
    1997©Jane Evelyn Atwood
    4005
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Strip search after eight hours on the chain gang. Maricopa County Jail, Phoenix, Arizona, U.S.A., 1997.
    1997©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3943
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Slimane Hellis breaks down in tears over the body of his dead wife, Corinne. Corinne was a prisoner in a jail where the warden ruled that inmates couldn't carry aerosol inhalers for controlling asthma because they got high with them. Corinne begged the authorities, and every day wrote to her husband, saying that she was suffocating. But the warden maintained that she was exaggerating her condition. Early one morning Corinne had an attack. All the women prisoners sounded the alarm by banging on the doors of their cells. Finally a guard arrived, looked through the eye hole, and walked away. She returned almost an hour later, but it was too late: Corinne was in a coma. She died at the hospital two hours later.
    Although the story was a scandal in France, when Corinne's husband sued, the lawsuit was thrown out for "lack of evidence". City morgue, Nancy, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3943
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Slimane Hellis breaks down in tears over the body of his dead wife, Corinne. Corinne was a prisoner in a jail where the warden ruled that inmates couldn't carry aerosol inhalers for controlling asthma because they got high with them. Corinne begged the authorities, and every day wrote to her husband, saying that she was suffocating. But the warden maintained that she was exaggerating her condition. Early one morning Corinne had an attack. All the women prisoners sounded the alarm by banging on the doors of their cells. Finally a guard arrived, looked through the eye hole, and walked away. She returned almost an hour later, but it was too late: Corinne was in a coma. She died at the hospital two hours later.
    Although the story was a scandal in France, when Corinne's husband sued, the lawsuit was thrown out for "lack of evidence". City morgue, Nancy, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3924
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Early morning run for inmates. Centre de Détention Régional de Femmes. R%ennes, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3924
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Early morning run for inmates. Centre de Détention Régional de Femmes. R%ennes, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3911
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoners are allowed daily visits with their children in the nursery. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.

    Les prisonnières ont le droit d'aller voir leurs enfants plusieurs fois par jour dans la nursery de la prison. Colonie Pénale Pour Femmes de Perm. Russie, ex-U.R.S.S., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
    3911
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoners are allowed daily visits with their children in the nursery. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.

    Les prisonnières ont le droit d'aller voir leurs enfants plusieurs fois par jour dans la nursery de la prison. Colonie Pénale Pour Femmes de Perm. Russie, ex-U.R.S.S., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3988
    Trop de Peines – Femmes en prison
    For inspection, inmates must make their beds so the blanket fold lines up with the mark painted on the iron frame. Women's Shock Incarceration Unit, Columbia, South Carolina, U.S.A., 1994.
    1994©Jane Evelyn Atwood
    3988
    Trop de Peines – Femmes en prison
    For inspection, inmates must make their beds so the blanket fold lines up with the mark painted on the iron frame. Women's Shock Incarceration Unit, Columbia, South Carolina, U.S.A., 1994.
    1994©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3949
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Arrested woman sobers up in a "drunk tank" before being placed in a cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
    3949
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Arrested woman sobers up in a "drunk tank" before being placed in a cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    4011
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Headlines in Texas newspapers the day after Karla Faye Tucker's execution announce the first execution of a woman in years. Dallas airport, Dallas, Texas, U.S.A., 1998.
    1998©Jane Evelyn Atwood
    4011
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Headlines in Texas newspapers the day after Karla Faye Tucker's execution announce the first execution of a woman in years. Dallas airport, Dallas, Texas, U.S.A., 1998.
    1998©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    4010
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Father and daughter leave prison after visiting mother incarcerated for seven years for delivering marijuana. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
    1997©Jane Evelyn Atwood
    4010
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Father and daughter leave prison after visiting mother incarcerated for seven years for delivering marijuana. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
    1997©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    4009
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate cries as her husband and daughter leave the visiting room. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
    1997©Jane Evelyn Atwood
    4009
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate cries as her husband and daughter leave the visiting room. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
    1997©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3973
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Corrections officers strip a newly-arrested woman who tried to commit suicide by swallowing her own clothes. Male corrections officers were called only when female guards proved incapable of handling the situation. Wildwood Pre-Trial Facility, Kenai, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
    3973
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Corrections officers strip a newly-arrested woman who tried to commit suicide by swallowing her own clothes. Male corrections officers were called only when female guards proved incapable of handling the situation. Wildwood Pre-Trial Facility, Kenai, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3960
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate sunbathes in the yard. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
    3960
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate sunbathes in the yard. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3951
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Corrections officers hold a woman for booking. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
    3951
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Corrections officers hold a woman for booking. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3950
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Drunk inmate dries out in a segregation cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
    3950
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Drunk inmate dries out in a segregation cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
    1993©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3947
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Cell door window decorated by inmates. Correctional Center for Women, Pardubice, Czech Republic, 1992.

    Porte vitrée d'une cellule décorée par détenues.
    Centre Correctionnel Pour Femmes ded Pardubicé, République Tchèque, ex-Tchècoslovaquie, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
    3947
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Cell door window decorated by inmates. Correctional Center for Women, Pardubice, Czech Republic, 1992.

    Porte vitrée d'une cellule décorée par détenues.
    Centre Correctionnel Pour Femmes ded Pardubicé, République Tchèque, ex-Tchècoslovaquie, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3946
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate in her cell. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
    3946
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate in her cell. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3945
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Lacerated and burned arms, not true suicide attempts but self-mutilation common among female prisoners. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
    3945
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Lacerated and burned arms, not true suicide attempts but self-mutilation common among female prisoners. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3944
    Trop de Peines – Femmes en prison
    This inmate was said to have killed twenty-five people when she burned down a building. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
    3944
    Trop de Peines – Femmes en prison
    This inmate was said to have killed twenty-five people when she burned down a building. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
    1992©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3942
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Visiting rights for a married couple jailed for stealing a painting from a museum. Maison d'Arrêt de Femmes, Dijon, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3942
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Visiting rights for a married couple jailed for stealing a painting from a museum. Maison d'Arrêt de Femmes, Dijon, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3941
    Trop de Peines – Femmes en prison
    After visiting rights, a prisoner gets a last look at her sister before returning to her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3941
    Trop de Peines – Femmes en prison
    After visiting rights, a prisoner gets a last look at her sister before returning to her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3940
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate with her girlfriend in the visiting room. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3940
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate with her girlfriend in the visiting room. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3939
    Trop de Peines – Femmes en prison
    The view from within. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3939
    Trop de Peines – Femmes en prison
    The view from within. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3938
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Nearly catatonic prisoner has yard privileges alone in the rain. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3938
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Nearly catatonic prisoner has yard privileges alone in the rain. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3937
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner said to be doing time for not denouncing her husband who had sexually abused their children. Maison d'Arrêt de femmes, "Le Bordiot", Bourges, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3937
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner said to be doing time for not denouncing her husband who had sexually abused their children. Maison d'Arrêt de femmes, "Le Bordiot", Bourges, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3936
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner waits with her baby to go to the yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3936
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner waits with her baby to go to the yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3935
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner's baby bassinet outside cell doors. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3935
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner's baby bassinet outside cell doors. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3934
    Trop de Peines – Femmes en prison
    The yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3934
    Trop de Peines – Femmes en prison
    The yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3933
    Trop de Peines – Femmes en prison
    facilities in a typical cell: a cold water faucet suspended over a seatless toilet bowl, no privacy. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3933
    Trop de Peines – Femmes en prison
    facilities in a typical cell: a cold water faucet suspended over a seatless toilet bowl, no privacy. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3932
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Guard surveys inmates and their guests in a large, crowded visiting room - notorious for being uncontrollable. Rumor had it that prisoners were often pregnant after visits. A guard even pointed out a man who passed drugs to his girlfriend with his foot. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3932
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Guard surveys inmates and their guests in a large, crowded visiting room - notorious for being uncontrollable. Rumor had it that prisoners were often pregnant after visits. A guard even pointed out a man who passed drugs to his girlfriend with his foot. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3931
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate leaves the visiting room with her baby. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3931
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate leaves the visiting room with her baby. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    Do not crop image.NOT FOR PRESS OR TV!!

     

  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3930
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner in the prison workshop. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3930
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prisoner in the prison workshop. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3929
    Trop de Peines – Femmes en prison
    This fourteen-month-old boy spent his life in prison with his mother and her cellmate. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3929
    Trop de Peines – Femmes en prison
    This fourteen-month-old boy spent his life in prison with his mother and her cellmate. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3928
    Trop de Peines – Femmes en prison
    After morning exercise. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3928
    Trop de Peines – Femmes en prison
    After morning exercise. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3927
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Guards leave the detention area at the end of the day. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3927
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Guards leave the detention area at the end of the day. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3926
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Night round: the guard snap's on the lights and looks into the cell four times each night to make sure no one is missing - or dead. Maison d'Arrêt de Femmes, Fleury-Mérogis, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3926
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Night round: the guard snap's on the lights and looks into the cell four times each night to make sure no one is missing - or dead. Maison d'Arrêt de Femmes, Fleury-Mérogis, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3925
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate in her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3925
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate in her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3923
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate in her cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3923
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Inmate in her cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3922
    Trop de Peines – Femmes en prison
    this woman strangled her two children and said it was important for her to be photographed because it helped her accept what she had done. Later, she hung herself. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
    3922
    Trop de Peines – Femmes en prison
    this woman strangled her two children and said it was important for her to be photographed because it helped her accept what she had done. Later, she hung herself. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
    1991©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3921
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prison hearing to decide the punishment of an inmate who misbeahaved. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, former U.S.S.R., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
    3921
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prison hearing to decide the punishment of an inmate who misbeahaved. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, former U.S.S.R., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
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  • Trop de Peines – Femmes en prison
    3920
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prison sauna for inmates. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, Former U.S.S.R., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
    3920
    Trop de Peines – Femmes en prison
    Prison sauna for inmates. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, Former U.S.S.R., 1990.
    1990©Jane Evelyn Atwood
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