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Les oubliés du périph
France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
© Diane Grimonet
09/08/2014 4638
09/08/2014
Les oubliés du périph
France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
© Diane Grimonet
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Les oubliés du périph
France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
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09/08/2014 4636
09/08/2014
Les oubliés du périph
France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
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Les oubliés du périph
France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
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09/08/2014 4635
09/08/2014
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David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
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09/08/2014 4634
09/08/2014
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David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
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France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
© Diane Grimonet
07/08/2014 4637
07/08/2014
Les oubliés du périph
France, Paris - 2014 – 2015 - Entre Porte du Pré Saint Gervais et Porte des Lilas, David
David, 40 ans, Il vit de la débrouille et de l’ASS. Il a la CMU. Tous les matins il va récupérer, auprès d’une association voisine, les invendus des grands magasins. Ses outils : la brouette et le diable. Il crée des objets à partir de ce qu’il récupère « Tout ce que je crée, c’est de la psychologie ». Le nom qu’il a donné à son campement ? Le campement de la Psychologie…un jour d’été où il pleut, je suis un peu en hauteur et lui en contrebas. Soudain, il hurle : « T’as fini tes photos, dégage ! » Dans ses yeux, j’ai senti la rage, le danger, un danger auquel je m’exposais sans savoir lequel. J’ai reculé et à pas lents et posés, je suis partie. Dès le coin de la rue passé, j’ai couru. Je me suis réfugiée dans un café où j’ai pleuré. La peur, la solitude de cette situation, de ce reportage, ne pas être comprise dans le travail que je faisais auprès de lui, ne pas avoir compris ce qui se passait... C’est de la « psychologie »...
© Diane Grimonet
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1806
Crise humanitaire en Centrafrique
Ousman Mustapha souffre d’une infection d’origine inconnue qui le paralyse depuis une semaine. Comme 11 000 autres musulmans, il ne peut être soigné car il est enfermé dans le quartier musulman de Boda. Toute personne qui tente d’en sortir est attaquée par des anti-balaka.
William Daniels
1806
Crise humanitaire en Centrafrique
Ousman Mustapha souffre d’une infection d’origine inconnue qui le paralyse depuis une semaine. Comme 11 000 autres musulmans, il ne peut être soigné car il est enfermé dans le quartier musulman de Boda. Toute personne qui tente d’en sortir est attaquée par des anti-balaka.
William Daniels
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3473
Le retour des concubines
Dernière nuit de Dazhu avant de partir pour la ville. Elle songe aux amies qu'elle va retrouver. Certaines sont devenues concubines : un riche homme marié leur paie un appartement et subvient à leurs besoins.
© Axelle de Russé
3473
Le retour des concubines
Dernière nuit de Dazhu avant de partir pour la ville. Elle songe aux amies qu'elle va retrouver. Certaines sont devenues concubines : un riche homme marié leur paie un appartement et subvient à leurs besoins.
© Axelle de Russé
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3908
Trop de Peines – Femmes en prison
Internal body search by prison gynecologist after visiting rights. In most countries this practice is forbidden without orders from a judge. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Internal body search by prison gynecologist after visiting rights. In most countries this practice is forbidden without orders from a judge. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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3492
Le retour des concubines
Comme Nanhua, les concubines sont souvent jeunes et jolies. Entourées d'hommes, elles sont dédaignés par la société et passent leurs semaines seules, en attente d'une éventuelle visite.
© Axelle de Russé
3492
Le retour des concubines
Comme Nanhua, les concubines sont souvent jeunes et jolies. Entourées d'hommes, elles sont dédaignés par la société et passent leurs semaines seules, en attente d'une éventuelle visite.
© Axelle de Russé
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3505
Le retour des concubines
Le prix à payer pour les concubines rêvant de réussite : la solitude.
© Axelle de Russé
14/11/2007 3505
14/11/2007
Le retour des concubines
Le prix à payer pour les concubines rêvant de réussite : la solitude.
© Axelle de Russé
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3882
Trop de Peines – Femmes en prison
Afternoon in a cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Châlons-sur-Marne, France, 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Afternoon in a cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Châlons-sur-Marne, France, 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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4005
Trop de Peines – Femmes en prison
Strip search after eight hours on the chain gang. Maricopa County Jail, Phoenix, Arizona, U.S.A., 1997.
1997©Jane Evelyn Atwood
4005
Trop de Peines – Femmes en prison
Strip search after eight hours on the chain gang. Maricopa County Jail, Phoenix, Arizona, U.S.A., 1997.
1997©Jane Evelyn Atwood
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3943
Trop de Peines – Femmes en prison
Slimane Hellis breaks down in tears over the body of his dead wife, Corinne. Corinne was a prisoner in a jail where the warden ruled that inmates couldn't carry aerosol inhalers for controlling asthma because they got high with them. Corinne begged the authorities, and every day wrote to her husband, saying that she was suffocating. But the warden maintained that she was exaggerating her condition. Early one morning Corinne had an attack. All the women prisoners sounded the alarm by banging on the doors of their cells. Finally a guard arrived, looked through the eye hole, and walked away. She returned almost an hour later, but it was too late: Corinne was in a coma. She died at the hospital two hours later.
Although the story was a scandal in France, when Corinne's husband sued, the lawsuit was thrown out for "lack of evidence". City morgue, Nancy, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
3943
Trop de Peines – Femmes en prison
Slimane Hellis breaks down in tears over the body of his dead wife, Corinne. Corinne was a prisoner in a jail where the warden ruled that inmates couldn't carry aerosol inhalers for controlling asthma because they got high with them. Corinne begged the authorities, and every day wrote to her husband, saying that she was suffocating. But the warden maintained that she was exaggerating her condition. Early one morning Corinne had an attack. All the women prisoners sounded the alarm by banging on the doors of their cells. Finally a guard arrived, looked through the eye hole, and walked away. She returned almost an hour later, but it was too late: Corinne was in a coma. She died at the hospital two hours later.
Although the story was a scandal in France, when Corinne's husband sued, the lawsuit was thrown out for "lack of evidence". City morgue, Nancy, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3924
Trop de Peines – Femmes en prison
Early morning run for inmates. Centre de Détention Régional de Femmes. R%ennes, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Early morning run for inmates. Centre de Détention Régional de Femmes. R%ennes, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3911
Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoners are allowed daily visits with their children in the nursery. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.
Les prisonnières ont le droit d'aller voir leurs enfants plusieurs fois par jour dans la nursery de la prison. Colonie Pénale Pour Femmes de Perm. Russie, ex-U.R.S.S., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoners are allowed daily visits with their children in the nursery. Perm Penal Colony for Women, Perm, former U.S.S.R., 1990.
Les prisonnières ont le droit d'aller voir leurs enfants plusieurs fois par jour dans la nursery de la prison. Colonie Pénale Pour Femmes de Perm. Russie, ex-U.R.S.S., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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3988
Trop de Peines – Femmes en prison
For inspection, inmates must make their beds so the blanket fold lines up with the mark painted on the iron frame. Women's Shock Incarceration Unit, Columbia, South Carolina, U.S.A., 1994.
1994©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
For inspection, inmates must make their beds so the blanket fold lines up with the mark painted on the iron frame. Women's Shock Incarceration Unit, Columbia, South Carolina, U.S.A., 1994.
1994©Jane Evelyn Atwood
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3949
Trop de Peines – Femmes en prison
Arrested woman sobers up in a "drunk tank" before being placed in a cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Arrested woman sobers up in a "drunk tank" before being placed in a cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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4011
Trop de Peines – Femmes en prison
Headlines in Texas newspapers the day after Karla Faye Tucker's execution announce the first execution of a woman in years. Dallas airport, Dallas, Texas, U.S.A., 1998.
1998©Jane Evelyn Atwood
4011
Trop de Peines – Femmes en prison
Headlines in Texas newspapers the day after Karla Faye Tucker's execution announce the first execution of a woman in years. Dallas airport, Dallas, Texas, U.S.A., 1998.
1998©Jane Evelyn Atwood
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4010
Trop de Peines – Femmes en prison
Father and daughter leave prison after visiting mother incarcerated for seven years for delivering marijuana. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
1997©Jane Evelyn Atwood
4010
Trop de Peines – Femmes en prison
Father and daughter leave prison after visiting mother incarcerated for seven years for delivering marijuana. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
1997©Jane Evelyn Atwood
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4009
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate cries as her husband and daughter leave the visiting room. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
1997©Jane Evelyn Atwood
4009
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate cries as her husband and daughter leave the visiting room. Nebraska Correctional Center for Women, York, Nebraska, U.S.A., 1997.
1997©Jane Evelyn Atwood
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3973
Trop de Peines – Femmes en prison
Corrections officers strip a newly-arrested woman who tried to commit suicide by swallowing her own clothes. Male corrections officers were called only when female guards proved incapable of handling the situation. Wildwood Pre-Trial Facility, Kenai, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
3973
Trop de Peines – Femmes en prison
Corrections officers strip a newly-arrested woman who tried to commit suicide by swallowing her own clothes. Male corrections officers were called only when female guards proved incapable of handling the situation. Wildwood Pre-Trial Facility, Kenai, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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3960
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate sunbathes in the yard. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate sunbathes in the yard. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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3951
Trop de Peines – Femmes en prison
Corrections officers hold a woman for booking. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Corrections officers hold a woman for booking. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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3950
Trop de Peines – Femmes en prison
Drunk inmate dries out in a segregation cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Drunk inmate dries out in a segregation cell. Sixth Avenue Jail Annex, Anchorage, Alaska, U.S.A., 1993.
1993©Jane Evelyn Atwood
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3947
Trop de Peines – Femmes en prison
Cell door window decorated by inmates. Correctional Center for Women, Pardubice, Czech Republic, 1992.
Porte vitrée d'une cellule décorée par détenues.
Centre Correctionnel Pour Femmes ded Pardubicé, République Tchèque, ex-Tchècoslovaquie, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Cell door window decorated by inmates. Correctional Center for Women, Pardubice, Czech Republic, 1992.
Porte vitrée d'une cellule décorée par détenues.
Centre Correctionnel Pour Femmes ded Pardubicé, République Tchèque, ex-Tchècoslovaquie, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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3946
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate in her cell. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate in her cell. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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3945
Trop de Peines – Femmes en prison
Lacerated and burned arms, not true suicide attempts but self-mutilation common among female prisoners. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Lacerated and burned arms, not true suicide attempts but self-mutilation common among female prisoners. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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3944
Trop de Peines – Femmes en prison
This inmate was said to have killed twenty-five people when she burned down a building. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
This inmate was said to have killed twenty-five people when she burned down a building. Correctional Center for Women, Pardubicé, Czech Republic, 1992.
1992©Jane Evelyn Atwood
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3942
Trop de Peines – Femmes en prison
Visiting rights for a married couple jailed for stealing a painting from a museum. Maison d'Arrêt de Femmes, Dijon, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Visiting rights for a married couple jailed for stealing a painting from a museum. Maison d'Arrêt de Femmes, Dijon, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3941
Trop de Peines – Femmes en prison
After visiting rights, a prisoner gets a last look at her sister before returning to her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
3941
Trop de Peines – Femmes en prison
After visiting rights, a prisoner gets a last look at her sister before returning to her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3940
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate with her girlfriend in the visiting room. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate with her girlfriend in the visiting room. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
The view from within. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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The view from within. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Nearly catatonic prisoner has yard privileges alone in the rain. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Nearly catatonic prisoner has yard privileges alone in the rain. Centre de Détention Régional de Femmes, Joux-la-Ville, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner said to be doing time for not denouncing her husband who had sexually abused their children. Maison d'Arrêt de femmes, "Le Bordiot", Bourges, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner said to be doing time for not denouncing her husband who had sexually abused their children. Maison d'Arrêt de femmes, "Le Bordiot", Bourges, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3936
Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner waits with her baby to go to the yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
3936
Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner waits with her baby to go to the yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3935
Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner's baby bassinet outside cell doors. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner's baby bassinet outside cell doors. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
The yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
The yard. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
facilities in a typical cell: a cold water faucet suspended over a seatless toilet bowl, no privacy. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
facilities in a typical cell: a cold water faucet suspended over a seatless toilet bowl, no privacy. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Guard surveys inmates and their guests in a large, crowded visiting room - notorious for being uncontrollable. Rumor had it that prisoners were often pregnant after visits. A guard even pointed out a man who passed drugs to his girlfriend with his foot. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Guard surveys inmates and their guests in a large, crowded visiting room - notorious for being uncontrollable. Rumor had it that prisoners were often pregnant after visits. A guard even pointed out a man who passed drugs to his girlfriend with his foot. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate leaves the visiting room with her baby. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
3931
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate leaves the visiting room with her baby. Maison d'Arrêt de Femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
Do not crop image.NOT FOR PRESS OR TV!!
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner in the prison workshop. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prisoner in the prison workshop. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3929
Trop de Peines – Femmes en prison
This fourteen-month-old boy spent his life in prison with his mother and her cellmate. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
This fourteen-month-old boy spent his life in prison with his mother and her cellmate. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3928
Trop de Peines – Femmes en prison
After morning exercise. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
After morning exercise. Maison d'Arrêt de femmes, "Les Baumettes", Marseilles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
Do not crop image.NOT FOR PRESS OR TV!!
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3927
Trop de Peines – Femmes en prison
Guards leave the detention area at the end of the day. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Guards leave the detention area at the end of the day. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3926
Trop de Peines – Femmes en prison
Night round: the guard snap's on the lights and looks into the cell four times each night to make sure no one is missing - or dead. Maison d'Arrêt de Femmes, Fleury-Mérogis, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
3926
Trop de Peines – Femmes en prison
Night round: the guard snap's on the lights and looks into the cell four times each night to make sure no one is missing - or dead. Maison d'Arrêt de Femmes, Fleury-Mérogis, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate in her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate in her cell. Centre de Détention Régional de Femmes, Rennes, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3923
Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate in her cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Inmate in her cell. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3922
Trop de Peines – Femmes en prison
this woman strangled her two children and said it was important for her to be photographed because it helped her accept what she had done. Later, she hung herself. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
3922
Trop de Peines – Femmes en prison
this woman strangled her two children and said it was important for her to be photographed because it helped her accept what she had done. Later, she hung herself. Maison d'Arrêt de Femmes, Versailles, France, 1991.
1991©Jane Evelyn Atwood
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3921
Trop de Peines – Femmes en prison
Prison hearing to decide the punishment of an inmate who misbeahaved. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, former U.S.S.R., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prison hearing to decide the punishment of an inmate who misbeahaved. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, former U.S.S.R., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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3920
Trop de Peines – Femmes en prison
Prison sauna for inmates. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, Former U.S.S.R., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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Trop de Peines – Femmes en prison
Prison sauna for inmates. Ryazan Corrective Labor Colony for Juvenile Delinquents, Ryazan, Former U.S.S.R., 1990.
1990©Jane Evelyn Atwood
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