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SCY - Dying to Breathe
Dying to Breathe
Chine / Shaanxi / Henan / Sim Chi Yin / VII / projet personnel / 2011 - 2013 /
Mi Shixiu serre contre elle la tête de He Quangui alors qu'il lutte pour respirer... Il finit par retrouver sa respiration. Cependant, au petit matin du jour suivant, il essaya de mettre fin à ses souffrances en se suicidant.
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Dying to breathe: He Quangui, ancien mineur d'or, meurt peu à peu de silicose - une maladie irréversible mais évitable qu'il a contracté après des années à travailler dans des petites mines non régulées de la province du Henan au centre de la Chine. Dix ans après avoir été diagnostiqué, il se bat pour survivre, pour continuer à respirer. Cette maladie, une forme de pneumoconiose - La pathologie professionnelle la plus fréquente en Chine, avec des millions de cas -la poussière de silice aspirée dans les poumons durant des années à creuser la roche les fait durcir et éventuellement s'effondrer. Les travailleurs qui peuvent se permettre une bonne couverture médicale et de quitter cet environnement nocif -- particulièrement ceux qui travaillent pour les mines gouvernementales -- ont une durée de vie normale. Mais au sein du nombre grandissant de victimes aujourd'hui en Chine, la plupart sont des migrants tels que Mr He, sans assurance, couverture maladie ni recours juridique. Ils meurent généralement dans leurs trentaines, laissant derrière eux des familles sans source de revenus, des femmes sans maris, des enfants sans pères.
© Sim Chi Yin / VII
23/02/2013 6632
23/02/2013
SCY - Dying to Breathe
Dying to Breathe
Chine / Shaanxi / Henan / Sim Chi Yin / VII / projet personnel / 2011 - 2013 /
Mi Shixiu serre contre elle la tête de He Quangui alors qu'il lutte pour respirer... Il finit par retrouver sa respiration. Cependant, au petit matin du jour suivant, il essaya de mettre fin à ses souffrances en se suicidant.
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Dying to breathe: He Quangui, ancien mineur d'or, meurt peu à peu de silicose - une maladie irréversible mais évitable qu'il a contracté après des années à travailler dans des petites mines non régulées de la province du Henan au centre de la Chine. Dix ans après avoir été diagnostiqué, il se bat pour survivre, pour continuer à respirer. Cette maladie, une forme de pneumoconiose - La pathologie professionnelle la plus fréquente en Chine, avec des millions de cas -la poussière de silice aspirée dans les poumons durant des années à creuser la roche les fait durcir et éventuellement s'effondrer. Les travailleurs qui peuvent se permettre une bonne couverture médicale et de quitter cet environnement nocif -- particulièrement ceux qui travaillent pour les mines gouvernementales -- ont une durée de vie normale. Mais au sein du nombre grandissant de victimes aujourd'hui en Chine, la plupart sont des migrants tels que Mr He, sans assurance, couverture maladie ni recours juridique. Ils meurent généralement dans leurs trentaines, laissant derrière eux des familles sans source de revenus, des femmes sans maris, des enfants sans pères.
© Sim Chi Yin / VII
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SCY - China's Rat Tribe
Rat Tribe
He Bing, trente-trois ans, essaie son nouveau costume trois pièces emprunté à la veille de son examen pour devenir vendeur d'assurances, Pékin, Chine, 10 mars 2011.
Bing est arrivé récemment à Pékin de Chongging, a emmenagé dans une chambre d'un sous sol central pékinois qu'il partage avec deux autres personnes. Face aux prix exhorbitants de l'immobilier, vivre sous terre est souvent la seule option pour cette légion de travailleurs immigrants à bas revenus, qui constituent un tiers des 20 millions d'habitants pékinois estimés.
© Sim Chi Yin / VII
10/03/2011 6635
10/03/2011
SCY - China's Rat Tribe
Rat Tribe
He Bing, trente-trois ans, essaie son nouveau costume trois pièces emprunté à la veille de son examen pour devenir vendeur d'assurances, Pékin, Chine, 10 mars 2011.
Bing est arrivé récemment à Pékin de Chongging, a emmenagé dans une chambre d'un sous sol central pékinois qu'il partage avec deux autres personnes. Face aux prix exhorbitants de l'immobilier, vivre sous terre est souvent la seule option pour cette légion de travailleurs immigrants à bas revenus, qui constituent un tiers des 20 millions d'habitants pékinois estimés.
© Sim Chi Yin / VII
Mandatory Credit: Sim Chi Yin / VII