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SP - River and Lost Lands
Of River and Lost Lands
La relation entre homme et rivière; Intime et sans scrupules. Les gens en ont vécu depuis des générations. On y trouve la dépendance et la destruction en même temps. C'est une liaison contradictoire. La rivière donne tellement à son peuple et à certains moments peut tout leur reprendre. Durant l'hiver 2011, J'ai voyagé dans les villages près du district d'Ishurdi. Padma, le plus grand cours d'eau du Bangladesh y coule tout près. Au début l'endroit semble abandonné. Des habitations démolies et submergées, des arbres flottants seuls reliquats, des traces de la vie qui était là auparavant. Doucement je découvre la vie dans les villages. Des gens qui vivent toujours là, beaucoup d'autres réfugiés dans des régions alentours. Ils ont perdu leurs foyers, leurs fermes, presque tout. Certains ont quitté l'endroit, à court d'options. Au fil des années la rivière a changé son cours. Ce faisant elle en a emporté beaucoup. Lorsque la mousson arrive la Rivière devient rapide; mortelle. Les terres sont balayées et disparaissent. L'érosion des lits de rivières crée beaucoup plus de souffrances que n'importe quel autre désastre naturel comme les inondations; alors que les inondations détruisent habituellement les récoltes et endommage les habitations, L'érosion résulte en la destruction totale des fermes et des terres. Les endroits que j'ai photographié n'existent plus, mais ces gens vivent toujours au bord de la rivière. Souvent ils sortent se reposer sur son lit et regardent au loin. Il n'est pas clair quant à ce qu'ils regardent. L'érosion des rivières continue de créer de graves conséquences pour ces terres et son peuple.
© Sarker Protick / VII
16/12/2011 6648
16/12/2011
SP - River and Lost Lands
Of River and Lost Lands
La relation entre homme et rivière; Intime et sans scrupules. Les gens en ont vécu depuis des générations. On y trouve la dépendance et la destruction en même temps. C'est une liaison contradictoire. La rivière donne tellement à son peuple et à certains moments peut tout leur reprendre. Durant l'hiver 2011, J'ai voyagé dans les villages près du district d'Ishurdi. Padma, le plus grand cours d'eau du Bangladesh y coule tout près. Au début l'endroit semble abandonné. Des habitations démolies et submergées, des arbres flottants seuls reliquats, des traces de la vie qui était là auparavant. Doucement je découvre la vie dans les villages. Des gens qui vivent toujours là, beaucoup d'autres réfugiés dans des régions alentours. Ils ont perdu leurs foyers, leurs fermes, presque tout. Certains ont quitté l'endroit, à court d'options. Au fil des années la rivière a changé son cours. Ce faisant elle en a emporté beaucoup. Lorsque la mousson arrive la Rivière devient rapide; mortelle. Les terres sont balayées et disparaissent. L'érosion des lits de rivières crée beaucoup plus de souffrances que n'importe quel autre désastre naturel comme les inondations; alors que les inondations détruisent habituellement les récoltes et endommage les habitations, L'érosion résulte en la destruction totale des fermes et des terres. Les endroits que j'ai photographié n'existent plus, mais ces gens vivent toujours au bord de la rivière. Souvent ils sortent se reposer sur son lit et regardent au loin. Il n'est pas clair quant à ce qu'ils regardent. L'érosion des rivières continue de créer de graves conséquences pour ces terres et son peuple.
© Sarker Protick / VII
*** License Only Through VII Photo Agency ***
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6638
SDL - Burkina Faso
Burkina Faso
Bougourë, Decembre 2005 - Courses de chevaux durant les festivités célébrant la fin des récoltes (rassandaga).
© Stefano De Luigi / VII
01/12/2005 6638
01/12/2005
SDL - Burkina Faso
Burkina Faso
Bougourë, Decembre 2005 - Courses de chevaux durant les festivités célébrant la fin des récoltes (rassandaga).
© Stefano De Luigi / VII