• SP - Light
    6650
    SP - Light
    Lumière
    © Sarker Protick / VII
    17/05/2015
    6650
    17/05/2015
    SP - Light
    Lumière
    © Sarker Protick / VII

     

  • SP - River and Lost Lands
    6649
    SP - River and Lost Lands
    Of River and Lost Lands

    La relation entre homme et rivière; Intime et sans scrupules. Les gens en ont vécu depuis des générations. On y trouve la dépendance et la destruction en même temps. C'est une liaison contradictoire. La rivière donne tellement à son peuple et à certains moments peut tout leur reprendre. Durant l'hiver 2011, J'ai voyagé dans les villages près du district d'Ishurdi. Padma, le plus grand cours d'eau du Bangladesh y coule tout près. Au début l'endroit semble abandonné. Des habitations démolies et submergées, des arbres flottants seuls reliquats, des traces de la vie qui était là auparavant. Doucement je découvre la vie dans les villages. Des gens qui vivent toujours là, beaucoup d'autres réfugiés dans des régions alentours. Ils ont perdu leurs foyers, leurs fermes, presque tout. Certains ont quitté l'endroit, à court d'options. Au fil des années la rivière a changé son cours. Ce faisant elle en a emporté beaucoup. Lorsque la mousson arrive la Rivière devient rapide; mortelle. Les terres sont balayées et disparaissent. L'érosion des lits de rivières crée beaucoup plus de souffrances que n'importe quel autre désastre naturel comme les inondations; alors que les inondations détruisent habituellement les récoltes et endommage les habitations, L'érosion résulte en la destruction totale des fermes et des terres. Les endroits que j'ai photographié n'existent plus, mais ces gens vivent toujours au bord de la rivière. Souvent ils sortent se reposer sur son lit et regardent au loin. Il n'est pas clair quant à ce qu'ils regardent. L'érosion des rivières continue de créer de graves conséquences pour ces terres et son peuple.
    © Sarker Protick / VII
    13/12/2012
    6649
    13/12/2012
    SP - River and Lost Lands
    Of River and Lost Lands

    La relation entre homme et rivière; Intime et sans scrupules. Les gens en ont vécu depuis des générations. On y trouve la dépendance et la destruction en même temps. C'est une liaison contradictoire. La rivière donne tellement à son peuple et à certains moments peut tout leur reprendre. Durant l'hiver 2011, J'ai voyagé dans les villages près du district d'Ishurdi. Padma, le plus grand cours d'eau du Bangladesh y coule tout près. Au début l'endroit semble abandonné. Des habitations démolies et submergées, des arbres flottants seuls reliquats, des traces de la vie qui était là auparavant. Doucement je découvre la vie dans les villages. Des gens qui vivent toujours là, beaucoup d'autres réfugiés dans des régions alentours. Ils ont perdu leurs foyers, leurs fermes, presque tout. Certains ont quitté l'endroit, à court d'options. Au fil des années la rivière a changé son cours. Ce faisant elle en a emporté beaucoup. Lorsque la mousson arrive la Rivière devient rapide; mortelle. Les terres sont balayées et disparaissent. L'érosion des lits de rivières crée beaucoup plus de souffrances que n'importe quel autre désastre naturel comme les inondations; alors que les inondations détruisent habituellement les récoltes et endommage les habitations, L'érosion résulte en la destruction totale des fermes et des terres. Les endroits que j'ai photographié n'existent plus, mais ces gens vivent toujours au bord de la rivière. Souvent ils sortent se reposer sur son lit et regardent au loin. Il n'est pas clair quant à ce qu'ils regardent. L'érosion des rivières continue de créer de graves conséquences pour ces terres et son peuple.
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    *** License Only Through VII Photo Agency ***

     

  • SP - What Remains
    6647
    SP - What Remains
    What Remains

    C'était l'après midi. J'étais assis sur le sofa de mon grand père. La porte était entrouverte et j'ai vu la lumière passer, difusée par la porte et les murs blancs. Soudainement tout fît sens. Je pouvais rattacher ce que je voyais à ce que je ressentais. John et Prova, mes grands parents. Ils m'ont apporté beaucoup d'amour et de soin pendant ma croissance. Ils étaient alors jeunes et forts. Puis le temps passa et modela tout à sa façon. Les corps prirent une forme différente et les relationt devînrent distantes. Les cheveux de grand-mère grisonnèrent, les mur s'effritèrent et les objets fûrent les seuls à rester tels quels. Tout était contenu dans une seule pièce. Ils ont toujours aimé que je prenne des photos d'eux, car je passe plus de temps avec eux et ils se sentent moins seuls. Maintenant que Prova est décédée, j'essaie de visiter plus souvent pour que John ait quelqu'un à qui parler. Il me raconte ses histoires de jeunesse, et comment lui et Prova se sont rencontrés. Il y tellement d'histoires. Ici, la vie est silentieuse, suspendue. Tout est en attente. En attente de quelquechose que je ne comprends qu'à moitié.
    © Sarker Protick / VII
    17/01/2012
    6647
    17/01/2012
    SP - What Remains
    What Remains

    C'était l'après midi. J'étais assis sur le sofa de mon grand père. La porte était entrouverte et j'ai vu la lumière passer, difusée par la porte et les murs blancs. Soudainement tout fît sens. Je pouvais rattacher ce que je voyais à ce que je ressentais. John et Prova, mes grands parents. Ils m'ont apporté beaucoup d'amour et de soin pendant ma croissance. Ils étaient alors jeunes et forts. Puis le temps passa et modela tout à sa façon. Les corps prirent une forme différente et les relationt devînrent distantes. Les cheveux de grand-mère grisonnèrent, les mur s'effritèrent et les objets fûrent les seuls à rester tels quels. Tout était contenu dans une seule pièce. Ils ont toujours aimé que je prenne des photos d'eux, car je passe plus de temps avec eux et ils se sentent moins seuls. Maintenant que Prova est décédée, j'essaie de visiter plus souvent pour que John ait quelqu'un à qui parler. Il me raconte ses histoires de jeunesse, et comment lui et Prova se sont rencontrés. Il y tellement d'histoires. Ici, la vie est silentieuse, suspendue. Tout est en attente. En attente de quelquechose que je ne comprends qu'à moitié.
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  • SP - River and Lost Lands
    6648
    SP - River and Lost Lands
    Of River and Lost Lands
    La relation entre homme et rivière; Intime et sans scrupules. Les gens en ont vécu depuis des générations. On y trouve la dépendance et la destruction en même temps. C'est une liaison contradictoire. La rivière donne tellement à son peuple et à certains moments peut tout leur reprendre. Durant l'hiver 2011, J'ai voyagé dans les villages près du district d'Ishurdi. Padma, le plus grand cours d'eau du Bangladesh y coule tout près. Au début l'endroit semble abandonné. Des habitations démolies et submergées, des arbres flottants seuls reliquats, des traces de la vie qui était là auparavant. Doucement je découvre la vie dans les villages. Des gens qui vivent toujours là, beaucoup d'autres réfugiés dans des régions alentours. Ils ont perdu leurs foyers, leurs fermes, presque tout. Certains ont quitté l'endroit, à court d'options. Au fil des années la rivière a changé son cours. Ce faisant elle en a emporté beaucoup. Lorsque la mousson arrive la Rivière devient rapide; mortelle. Les terres sont balayées et disparaissent. L'érosion des lits de rivières crée beaucoup plus de souffrances que n'importe quel autre désastre naturel comme les inondations; alors que les inondations détruisent habituellement les récoltes et endommage les habitations, L'érosion résulte en la destruction totale des fermes et des terres. Les endroits que j'ai photographié n'existent plus, mais ces gens vivent toujours au bord de la rivière. Souvent ils sortent se reposer sur son lit et regardent au loin. Il n'est pas clair quant à ce qu'ils regardent. L'érosion des rivières continue de créer de graves conséquences pour ces terres et son peuple.
    © Sarker Protick / VII
    16/12/2011
    6648
    16/12/2011
    SP - River and Lost Lands
    Of River and Lost Lands
    La relation entre homme et rivière; Intime et sans scrupules. Les gens en ont vécu depuis des générations. On y trouve la dépendance et la destruction en même temps. C'est une liaison contradictoire. La rivière donne tellement à son peuple et à certains moments peut tout leur reprendre. Durant l'hiver 2011, J'ai voyagé dans les villages près du district d'Ishurdi. Padma, le plus grand cours d'eau du Bangladesh y coule tout près. Au début l'endroit semble abandonné. Des habitations démolies et submergées, des arbres flottants seuls reliquats, des traces de la vie qui était là auparavant. Doucement je découvre la vie dans les villages. Des gens qui vivent toujours là, beaucoup d'autres réfugiés dans des régions alentours. Ils ont perdu leurs foyers, leurs fermes, presque tout. Certains ont quitté l'endroit, à court d'options. Au fil des années la rivière a changé son cours. Ce faisant elle en a emporté beaucoup. Lorsque la mousson arrive la Rivière devient rapide; mortelle. Les terres sont balayées et disparaissent. L'érosion des lits de rivières crée beaucoup plus de souffrances que n'importe quel autre désastre naturel comme les inondations; alors que les inondations détruisent habituellement les récoltes et endommage les habitations, L'érosion résulte en la destruction totale des fermes et des terres. Les endroits que j'ai photographié n'existent plus, mais ces gens vivent toujours au bord de la rivière. Souvent ils sortent se reposer sur son lit et regardent au loin. Il n'est pas clair quant à ce qu'ils regardent. L'érosion des rivières continue de créer de graves conséquences pour ces terres et son peuple.
    © Sarker Protick / VII
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